Où qu’il soit inhumé (ce devrait être au cimetière de San Isidro à Madrid), José Antonio Primo de Rivera restera comme un pur héros de la nation espagnole et de la Catholicité. Qui a combattu toutes les formes de la barbarie révolutionnaire universelle.
Et gloire aux phalangistes qui, après sa mort, fusillé par les Rouges dans sa prison d’Alicante, ont combattu trois ans sur tous les fronts de la guerre d’Espagne jusqu’à la victoire.
ESPAGNE : LA « MÉMOIRE DÉMOCRATIQUE » VEUT EFFACER LA MÉMOIRE DE SES CRIMES, DONT L’ASSASSINAT DE JOSÉ ANTONIO (François Marcilhac)
Vu sur une émission TV ( Arte ? ) , il y a quelques années, un reportage sur une petite localité espagnole ; certain résidents s’indignaient de la présence dans l’église, d’une plaque commémorative des villageois tués par les républicains.Un accommodement fut proposé par la mise en place d’une plaque symétrique avec liste des républicains abattus . Refusé et pour cause : les rouges virent que la liste de leurs victimes était exclusivement d’adultes masculins au contraire de ceux qu’ils avaient fait périr : hommes, femmes et enfants . La comparaison aurait été édifiante !
La profanation de cadavres, de caveaux est aussi un classique de ce côté .
Bien vu. Tout à fait juste.
Confiance dans le réveil des faits réels …
Les républicains devraient suivre la maxime de laisser les morts reposer en paix.