Par Rémi Hugues.
Alors que dans les médias dominants le concept de « grand remplacement » est retoqué, accusé de relever du pure mythos, pour beaucoup de nos compatriotes il représente une chose vécue, une réalité de tous les jours, un fait indiscutable, qui crève les yeux.
Prendre le R.E.R. à la gare du nord à Paris, ou flâner le long de la Canebière à Marseille, revient à faire l’expérience d’un « fait social total », pour employer l’expression de Marcel Mauss : c’est constater in vivo le changement de peuple, c’est voir l’homme européen être substitué à l’homme africain, pour le dire vite, au risque du schématisme.
Cet état de fait est facteur de crainte, et il est légitime d’éprouver un tel sentiment. Cette hantise tout à fait saine peut être qualifiée de « stress ethnique », autrement dit la peur de la dépossession de soi, de son identité, de son idiosyncrasie physique, culturelle et morale.
Le stress ethnique résulte ainsi de l’insécurité, qui ne concerne pas seulement sa personne, son intégrité, son ipséité, ni les biens dont on dispose, mais également son patrimoine immatériel, son être-à-soi collectif, son sentiment d’appartenance à une communauté qui se caractérise par des traits d’ordre subjectif (la manière de parler, de se comporter, de se vêtir, la couleur de sa peau ou de ses cheveux, la texture de ces derniers, sa culture primordiale, en un mot son ethos).
Parmi les Français, ce sentiment est inégalement partagé. Certains considèrent la société multiculturelle, résultat du fait migratoire massif, pour ne pas dire invasif, comme une aubaine, une occasion unique d’exercer sa faculté à l’ouverture, ou comme la contrepartie normale d’une injustice passée qu’il s’agit de réparer, la réparation légitime d’un passé qui ne passe pas – le prétendu « passif colonial ».
« Mea Maxima culpa ! », s’exclame l’adepte de la substitution ethnique, le fanatique de la grande transformation démographique, qu’il soit un vieux bourgeois qui a triomphé de la mondialisation ou un jeune précaire, dont l’esprit est aliéné par le pouvoir discursif de celle-là.
Or ces deux types sociaux forment une minorité bruyante, bénéficiant de la caisse de résonance du prêt-à-penser médiatique, duquel suinte une bien-pensance dont l’arrogance se manifeste à travers les visages pleins de morgue des animateurs de Canal + et alii.
Ces derniers sont grassement payés à conchier le bas peuple, à cracher sur sa face de craie, à railler son côté réfractaire, à se moquer de ses gauloiseries, jugées autant désuètes que grivoises. Quant à Benjamin Griveaux, ses grivoiseries, à lui qui un jour dit son mépris à l’égard des fumeurs de gitanes qui roulent au diesel, ses écarts sont immédiatement pardonnés par la caste, car il en est !
Ce qui signifie, plus clairement, que les « beaufs » sont si pleins d’archaïsmes jugés infamants qu’ils sont réductibles à la pire « race », celle des phallocrates xénophobes casseurs de « pédé » et propagateurs de rumeurs conspirationnistes. La lie de l’humanité, ni plus ni moins !
Mais cette majorité silencieuse, méprisée et déclassée – les perdants économiques et culturels de la mondialisation – ne restera pas les bras croisés à attendre l’heure fatidique, la phase terminale de son génocide programmé. La mort planifiée des Français ne va pas sans provoquer une réaction de leur part.
Réactions fortes, sans ambages. Réaction politique, partie des ronds-points, à l’automne 2018, quand dépérit la nature le vent du peuple souffla, clamant urbi et orbi qu’il n’entend point expirer. En définitive nul n’accepte d’acter de lui-même son propre crépuscule à moins qu’ait été anéanti son instinct de vie. Le pays réel avait rappelé son existence, sa volonté de puissance…
Se défiant d’un personnel politique qui depuis des lustres ne fait que le trahir, il en appelle à une rupture radicale. Son salut ne peut pas seulement passer par des mesures économiques. Fier et digne, il a attendu d’être acculé pour se mobiliser massivement, depuis villes et campagnes, campagnes surtout, devenues périphéries des grandes métropoles, et s’est ainsi rendu visible à la face du monde.
Sa pudeur proverbiale le perd, quand d’autres aiment faire couler leurs larmes de crocodiles friqués devant les caméras. Du fécond terroir un cri a surgi, le cri du peuple ; peuple qui en appelle au réveil, à la prise de conscience : un dessein génocidaire est en cours contre la nation de Vercingétorix et de Jehanne de Lorraine, cette dernière ayant été récemment souillée, à Marseille et à Paris, par une horde de squales appartenant à ce mouvement politique globalisé appelé « Antifas », héritiers ici en France de l’envahisseur anglois et des traîtres à leur solde qui firent brûler la Sainte Pucelle.
Tant Maurice Barrès le Lorrain que Charles Maurras le Provençal, parmi d’autres, mais une liste exhaustive eût été trop longue, ont magnifiquement, à travers leur œuvre, fait l’éloge de ce peuple de France, cette foule d’âmes qui collectivement n’aspirent qu’à une chose, à donner de l’âme pour l’âme de la France – cette formule étant empruntée au génial Arthur Rimbaud –, et pour cela sont prêts à porter Cœur à l’ouvrage. Bref, ils entendent sauver leur peau. ■
Publié le 16 juin 2020 – Actualisé le 5 juillet 2023
À lire de Rémi Hugues Mai 68 contre lui-même (Cliquer sur l’image)
© JSF – Peut être repris à condition de citer la source
Il faut dire les choses comme elles sont, la France est victime d’une invasion et d’une occupation immigrées et des parties de plus en plus importantes de notre pays ne sont pas les territoires perdus de la république, mais les territoires volés à la France , où règnent délinquance organisée et islamisme. Le mouvement de défense de Traore, délinquant issu d’une famille de délinquants, est la pointe avancée de ce mouvement d’occupation. C’est dans ces zones que se développe la haine de notre pays et des blancs, qui se dit désormais d’une façon de plus en plus décomplexée.
Bravo pour cet article. On aimerait que la presse parisienne de l’Action française tînt ce langage.
Taubira l’amie de la banlieue racailleuse vient de donner son appui à la famille délinquante Traore, tout est dit. La solidarité raciale prend le pas sur la justice.
Trés bien cet article de Rémi Hugues et c’est en effet du peuple , des masses ( surtout de ceux qui ont 20 ans de nos jours et commencent à souffrir ) que peut venir la réaction pour ne pas qu ils se retrouvent , un jour « le dos au mur » plutôt que de politiciens ou ex , essayant de grignoter sur le RN , recrus de tartarinades , d ‘ échecs ; inutile de nommer , certains n’étant déjà plus de ce monde .
si l’on pouvait rétablir notre langue et cesser de parler banlieusard, ou bébé, surtout sur ce site: on n’a jamais appris à dire: « pour ne pas que.. »! on dit: « pour…que… ne…pas »! POUR QU’ils NE se retrouvent PAS…on ne va tout de m^me pas se mettre à parler comme les grands remplaçants…
République de France, vous avez dit république, oui celle qui est née du terrorisme de Robespierre et Danton et les autres. Oui celle qui nous a dit qu’elle était ouverte aux autres, celle des droits du citoyen. Oui celle qui a oublié ou refusé de nous dire que l’ancien régie était régie par la Chrétienté et que l’homme n’invente rien ; il copie. L’ouverture aux autres, le respect de la nature, le refus de la course à l’argent, la main tendu aux pauvres, c’est notre mental depuis les Celtes, depuis la chrétienté. Cette république n’a pas inventé la liberté, la fraternité et l’égalité, elle le découvre en faisant venir l’Afrique et le moyen Orient, sans se préoccuper des origines de ses migrants.
Nous nous rendons compte que nous somme occupé, il n’y a pas le bruit des bottes Nazis , mais il y a un souffle de casse de notre société , s’il existe encore un peu de société, qui pour les plus lucide fait peur. Ce n’est pas la peur physique, c’est la peur de perdre son pays, pour soi et pour ses enfants. Nous ne changerons pas les descendants des terroristes de 1792, alors il est venu le temps de changer de régime et reprendre la gestion de la France tant qu’il est temps. Demain il sera trop tard, arrêtons les belles phrases et attelons nous au chariot de la délivrance. Assez de mensonges républicains et assez de palabres bourgeoises…la Franc chrétienne a besoin de ses enfants. Premier signe de rébellion dans la paix , remplissaient les églises le dimanche, même si vous n’êtes pas croyants, créé le symbole de l’union et du refus.
La France n’a pas d’autre problème que celui de l’immigration continue, insidieuse, étouffante… qui paralyse jusqu’aux réflexes les plus élémentaires…
Premièrement vous aurez rectifié créé avec; il faut créer?
A si il y a un autre problème, un président fier de sa petite personne, et des professeurs de la santé honnêtes qui crient au scandale d’état pour la plus mauvaise gestion de la pandémie, arrosés par les labo pharmaceutiques . Monsieur de Villier a écrit que nos élus savaient qu’ils étaient de mèche en construisant un labo spécial virus en Chine , et qu’ils auraient du nous protéger.
Si on ajoute cela à l’émigration islamiste , que fait on de nos élus républicains qui n’aiment pas la France ??? Je pose la question??? Car la situation est nouvelle et impensable, c’est pire qu’en 1939,; et sans frontières nous sommes au début de la fin. Il serait temps d’ouvrir le faible esprit Français qui nous reste. Il est reconnu que les Gaulois, pardon les Français sont de redoutables guerriers, attention à la brusque détente. . Il n’est plus question de nationaliste idiot, mais de sauver sa maison, la France, celle des Gaulois et des Français de Culture Celte Judéo Chrétienne. . Ce mesurer d’égal à égal n’est pas ce racisme que nos élus républicains nous imposent depuis quelques temps.
J’ai régulièrement la nausée quand je vais dans certains quartiers de ma bonne ville ducale et que je vois la prolifération des femmes allogènes habillées de sacs poubelle noirs de la tête aux pieds. J’ai même croisé récemment deux femmes en burqa, en plein centre-ville. Les provocations de cette racaille islamiste et immigrée sont permanentes. Un jour les français se réveilleront et se lèveront contre cette menace soutenue par la racaille d’extrême-gauche et les idéologues wokes et cela risquera de faire mal. Si ce sursaut ne se produit pas alors c’est que le peuple français aura mérité de disparaître.
Enclaves halogènes au coeur des villes, idéologie et pratique religieuse exogène, non mixité culturelle et ethnicité extraeuropenne, voilà la nouvelle réalité qui éclate au grand jour.
J’ai mal à ma France celle de ma famille depuis le XVI e S pour une part et l’autre celle du XX e S venue d’Espagne !
Restons ce que nous sommes : Français