À propos de la création du Conservatoire du Littoral (1975), mentionnée dans l’éphéméride du 10 juillet, lire ces réflexions de Marc Vergier.
L’héritage de V. Giscard d’Estaing est, on le sait, contrasté et critiqué.
Le Conservatoire du Littoral, s’il en est bien l’inspirateur, est une œuvre magnifique à lui reconnaitre, éternellement espère-t-on.
Au-delà des paysages inoubliables qu’il protège et entretient, ce Conservatoire est, déjà par son nom, un surprenant objet de réflexion politique.
Projet collectiviste raisonnable, nécessaire, populaire, poursuivi sans éclats, il est une convaincante démonstration des limites qu’il est indispensable de mettre aux folles politiques de croissance.
Quelquefois l’illibéralisme se révèle plus libéral, plus démocratique, que le libéralisme ! ■