Aristide Ankou a publié hier 9 août, une nouvelle suite de superbes photos que nous vous conseillons de regarder au fil de ces journées en principe estivales.
Il y en a un total de 10 regroupées sous ce titre à la fois poétique et précis : les forteresses de la lumière et du vent…
Il faut remercier Aristide Ankou pour la publication de ces merveilles. Merveilles pour les yeux, l’esprit et la mémoire.
Elles nous font remonter à l’esprit de lointaine mémoire les vers de Brasillach dans le Testament d’un condamné (Poèmes de Fresnes) :
Le passé fut si beau en somme
Qu’il ne faut blâmer le destin.
Jusqu’au bout de nos années d’homme
Nous aurons gardé le meilleur,
Le savoir de ce que nous sommes,
La jeunesse de notre cœur.
Merci donc de cette suite d’images elles aussi évocatrices… ■
Précédemment paru sur la riche page Facebook de l’auteur (9 août).