Vous trouverez dans le média « made in marseille » très présent sur les réseaux sociaux, d’autres exemples de cet art des rues (ou street art) époustouflant, ambigu et foisonnant, envahissant, d’une singulière fertilité, finalement pas plus laid à notre avis que tels chefs d’œuvre de l’art dit contemporain, parfois tout simplement dégoutants, payés à prix d’or par les spéculateurs, ou à prix d’or aussi par telles ou telles institutions publiques pour, en général, enlaidir nos places, nos rues, voire nos monuments les plus beaux.
Ceux-là – pourquoi ne seraient-ils pas des chefs d’œuvre en ces temps de relativisme absolu ? – sont gratuits. ■
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