Par Radu Portocala.
« Le monde dans lequel nous vivons est devenu bien étrange en particulier l’action politique menée par nos dirigeants » Jean, Comte de Paris
Emmanuel Macron, qui rêve sans doute d’un mandat à vie, s’est emporté, lors du marathon de verbiage avec les chefs de l’opposition, contre la limitation à deux mandats présidentiels voulue par la Constitution qu’il a qualifiée, avec son élégance coutumière, de « funeste connerie ».
Au bout d’une semaine, Nicolas Sarkozy, qui est l’auteur de cette limitation, lui a répondu que « ce n’est pas une connerie […] et ce n’est pas funeste ».
Il est agréable de constater à quel point est élevé le débat d’idées en France. Le concept de connerie fait enfin son entrée dans le corpus de la morne philosophie politique. ■
Billet, comme toujours superbement écrit et pensé, paru ce 7 septembre sur la page FB de son auteur.
Entre un escroc toujours pas en prison jusqu’à la fin de sa vie, comme l’homme au masque de fer, et le président actuel, plus traitre , plus fourbe, plus vénal, encore que tous ses prédécesseurs socialistes, il faudrait que que tous les français retrouvent la force, le courage et la foi, pour se mettre en ordre de bataille derrière les bannières royales et Jehannes de tous ceux qui ont construit le royaume de France.