2 commentaires pour “« Pas ma culture, pas mon trip, pas de ça chez moi. Halloween non merci. » Nikola Mirkovic.”
Halloween exhale à mon sens (olfactif) une culture de mort, avec un encouragement déguisé à la mendicité enfantine, une fête qui subtilement déplace dans les esprits la « Fenêtre d’Oberton » en faveur du caractère tolérable et non plus impensable des pratiques de l’Etat Profond, telles que la fraude et la corruption actuellement généralisée dans l’industrie pharmaceutique … une contamination qui exige des mesures de prévention. Oui Halloween n’est pas un phénomène aussi innocent que nous sommes amenés à croire même si c’est un bon support pour la vente de potimarrons et autres types de courge.
Il y a derrière le rejet de Halloween comme un puritanisme mal placé. Après tout, se déguiser en monstres, n’est-ce pas le principe même du carnaval ? N’avons-nous pas des effigies de la Tarasque en Provence ou de la Bête en Gévaudan ? Ce qu’il faut reprocher à Halloween (qui correspond d’ailleurs à la Vigile de la Toussaint et ne fait donc pas double emploi avec cette fête), bien plus que ses figures monstrueuses, c’est son rôle d’agent du soft-power américain et du consumérisme.
Halloween exhale à mon sens (olfactif) une culture de mort, avec un encouragement déguisé à la mendicité enfantine, une fête qui subtilement déplace dans les esprits la « Fenêtre d’Oberton » en faveur du caractère tolérable et non plus impensable des pratiques de l’Etat Profond, telles que la fraude et la corruption actuellement généralisée dans l’industrie pharmaceutique … une contamination qui exige des mesures de prévention. Oui Halloween n’est pas un phénomène aussi innocent que nous sommes amenés à croire même si c’est un bon support pour la vente de potimarrons et autres types de courge.
Il y a derrière le rejet de Halloween comme un puritanisme mal placé. Après tout, se déguiser en monstres, n’est-ce pas le principe même du carnaval ? N’avons-nous pas des effigies de la Tarasque en Provence ou de la Bête en Gévaudan ? Ce qu’il faut reprocher à Halloween (qui correspond d’ailleurs à la Vigile de la Toussaint et ne fait donc pas double emploi avec cette fête), bien plus que ses figures monstrueuses, c’est son rôle d’agent du soft-power américain et du consumérisme.