Par Charles de Meyer.
Très belles réflexions de Charles de Meyer à l’issue des obsèques de Patrick Buisson qui ont eu lieu à Paris avant-hier mercredi 3 janvier.
Nous n’étions pas si nombreux. En face, le Franc Tireur. Tout était décidément calculé. Peu manquaient, sinon le nombre. Et quelques mendiants plus inconscients encore qu’ingrats.
Nous avons entendu des bribes d’une lettre à Edna. Tonitruante, déchirante, tellement catholique. De celles qui ont ému Maurras, Péguy et même les autres.
Buisson est enseveli. C’est la miséricorde qui enterre les morts par les hommes. Reste la piété. Pour un être qui ne fut pas sans détours, pour un âme en tempête, pour un homme « non euclidien ».
À nous de voir. ■
Repris de la page Facebook de Charles de Meyer.
Et la déclamation de la 1ère strophe de la « prière de la fin ». Émouvant dans l’église, devant le cercueil de Patrick Buisson et devant une assistance dont nous aimerions qu’elle pratique Charles Maurras ⚜️