Sans autre commentaire que celui proposé en titre, inspiré du grand Bainville ! Pour les nations européennes, France en tête, s’annonce le temps de reprendre le Pouvoir qui leur revient ! Que les colères montent et s’étendent ! JSF
Bruxelles – qui n’a pas lu Bainville – ne sait pas que « la politique des concessions » conduit au désastre. À tout lâcher bientôt ! Bon vent Ursula !
Dans la communauté européenne, le «pouvoir d’initiative» appartient à la seule Commission. En d’autres termes, celle-ci a le pouvoir… Pouvoir par délégation, pouvoir par subsidiarité, pouvoir par nomination ou tout ce que l’on pourra inventer comme euphémisme dilatoire, peut-être bien, mais «pouvoir», un point c’est tout.
Les chefs d’État ne sont que des espèces de députés qui font «remonter» comme ils peuvent à la direction générale quelques informations subsidiaires, et avec plus ou moins de persuasion. Dernièrement, donc, la cheftaine est condescendue, elle a examiné les choses en ricanant et a fait un grand pas en permettant aux sociétés phytosanitaires de poursuivre encore un moment leurs entreprises pesticides, herbicides jusqu’aux homicides «propres» et/ou chirgugicaux…
Seule question qui doit réellement nous intriguer: comment se peut-il qu’un spécimen aussi gravement dégénéré physiologiquement que cette commissaire commise à la distribution de schlague sur les divers maquerons dont la relève des compteurs laisserait à désirer, comment se fait-il qu’elle ait fait l’objet de «LEUR» choix, caricature pareillement plastifiée que cette fausse bonne femme, fausse blonde, faux sourire, fausse coiffure, fausse démarche………… ignoble et terne robot.
Le diable est toujours boiteux, dit-on, cela permet de le repérer à chaque moment où il lui passe par l’intention de déambuler un tant soit peu.
Je suggère de coller cette diablesse-là sous des jets de chlorhydrate, d’ammoniaque, de soufre et non sous le lisier dont elle s’empuantit en cachette – mais enfin, quelque produit réellement SANITAIRE : un bon coup d’eau bénite au front de ce museau salingue !!!!
Si Bruxelles est contraint de calmer le jeu ce ne sera que temporaire. Chassez le naturel il revient au galop. Et nos dirigeants capituleront comme d’habitude.
Il est bien évident que « Bruxelles » ne « calme le jeu » qu’à cause des élections européennes du 9 juin ; cette commission non constituée d’élus, commence à avoir peur des résultats nationaux … d’ici à ce qu’elle supprime d’autorité ce droit de vote pour les députés européens …