Le proviseur du lycée Maurice Ravel, dans le 20e arrondissement de Paris, vient de démissionner « par sécurité » après avoir reçu des menaces de mort pour avoir demandé à une élève de son lycée de retirer son voile.
Si les circonstances exactes de cette affaire restent à préciser, il s’agit là d’un renoncement qui s’apparente à un acte de soumission. C’est en tout cas comme cela que l’interpréteront certainement les auteurs des menaces, qui ne comprennent que le rapport de force.
Sans doute le gouvernement ne peut-il pas en même temps légiférer à propos de la discrimination capillaire, creuser le déficit public dans des proportions abyssales, évoquer une implication militaire opérationnelle dans le conflit ukrainien et faire preuve de fermeté et de détermination face au communautarisme musulman.
Cet événement n’est pas anodin et marque un tournant dans notre rapport au développement de l’islam en France. Ce n’est pas le proviseur, ce sont les ministres de l’Éducation et celui de l’Intérieur, voire l’ensemble du gouvernement, qui devraient démissionner. C’est d’ailleurs ce qu’ils savent faire le mieux, comme le démontre encore cette lamentable séquence. ■
Communiqué.
Je suis choqué par la démission de ce proviseur. Cela s’apparente à de la lâcheté. On n’abandonne pas sa troupe dans la tourmente. C’est une question d’honneur. Qu’en pensent les professeurs qui sont au contact ?
Cela n’enlève rien à la responsabilité du gouvernement qui doit adopter des mesures fermes: expulsion de la gamine et de sa famille avec si besoin est déchéance de la nationalité française.
D’autre part, je propose qu’on inscrive la discrimination capillaire dans la constitution ! Moins con !
On peut comprendre la réaction du petit soldat, qui n’est soutenu par personne, tant le gouvernement est tétanisé par la menace d’être taxé d' »islamophobie » . Il faudra un jour que chacun s’accorde à reconnaître que l’Islam est quand même le terreau (le mot est faible, on peut penser à un mot commençant par fu et se terminant par mier) sur lequel prospère l’islamisme avec la complicité de tous les soumis de la République. l’argonnaute du 06
On s’indigne de l’incapacité congénitale des autorités à se faire respecter dans le milieu scolaire. mais le ver est dans le fruit depuis longtemps dans l’éducation nationale. ( je puis en témoigner à titre personnel, mais combien d’autres! ) A force d’avoir voulu renoncer à toute vraie exigence, à tout tolérer et à désavouer les profs qui tiennent à l’autorité et à la transmission , l’école ( l’Etat profonde l’Education Natioanele ) s’est attirée le mépris agressif, en particulier des nouveaux venus, dont les enseignants sont les otages. . Cette jeune fille arrogante a mis le doigt sur la plaie de notre soumission . Maintenant quand j’entends parler des « valeurs de notre régime » comme rempart j’ai envie de dire comme Hamlet que je n’entends que , » words, words », muraille de papier dérisoire contre ces agressions. Ne serait-il pas plus simple et digne de parler de notre attachement à notre pays, à sa vocation , et de notre refus de nous soumettre à un islamisme agressif; Il y a finalement un point commun entre le délire wokiste infiltré dans notre pays , qui s’attaque aux racines même de notre personne, et la volonté de conquête islamiste: une commue jubilation perverse à jouir de notre propre déchéance; et le goût malsain des prodromes d’une guerre civile. Quant à notre président en est -il si innocent , avec son goût aussi pervers de la nourrir? Faillite de nos instituions, c ‘est bien à une crise de régime à laquelle nous assistons, à sa décomposition. Reste tous ceux qui sont sincèrement attachés à leur communauté de naissance, à sa pérennité et pour lesquels subsiste à chaque instant le souci de vivre, de transcender notre histoire, et non d’y renoncer . . Nous revenons bien à la Satire Ménippée, la recherche d’un recours qui nous élève au dessus des nous-mêmes: il serait temps !