Pensée du jour qui nous ramène à ce que nous sommes en train de vivre. « Sous l’œil des barbares » est le titre d’un livre de Maurice Barrès, le premier que le jeune Maurras ait lu, d’un trait, dit-il, et qui fut la source ou le prélude de leur amitié. « Triste époque » est une expression que Shakespeare prête au roi Lear, lequel dit aussi qu’il faut bien en porter « le fardeau ». Déjà. Nous avons nos fardeaux et nos barbares, de provenances diverses, et d’une violence croissante, non pas comme cause première mais plutôt comme conséquence. Le mal, en effet, est d’abord en nous-mêmes, nous devrions le savoir. [Depuis la page d’accueil, on peut cliquer sur l’image pour l’agrandir]. Source : Lectures de Pierre Builly.
Illustration : Pierre Debray à la tribune du Rassemblement Royaliste des Baux de Provence en 1973. À sa gauche, l’écrivain Michel de Saint-Pierre et Guy Rérolle, alors président des Comités Directeurs de l’Action Française.
Première parution le 17.04.2021
Dans nos premières publications, cette citation, extraite de La Cathédrale effondrée, ouvrage collectif écrit en 1962 par Henri Massis, Louis Daménie et Pierre Debray, avait été attribuée à Henri Massis. Elle est, en fait, de Pierre Debray, dont on sait, par ailleurs, combien il a collaboré, et de grand cœur, avec l’équipe de Je Suis Français, à l’époque où il fut le mensuel – papier – de la Fédération des Unions Royalistes de France. Erreur réparée. Merci à Christian Franchet d’Espèrey qui nous l’a signalée.
Venus de l’Europe centrale, ils sont nos ancêtres , les Celtes qui ont occupé ces terres d’Occident, que l’on ose appeler Union Européenne. Ils étaient d’une grande culture que les fouilles actuelles révèlent, ils ont créé les outils , les manières de travailler avec que l’on possède encore de nos jours. Ils avaient une philosophie à faire pâlir César, ce Romain qui les a dominé avec leur accord tacite. Les Romains partis, voilà les invasions des barbares nordiques. Puis vient la gestion germanique de ce que César à nommé la Gaule. Aucune liaison entre les indigènes Celtes ou Gaulois , les Romains de César et les barbares nordiques.
Si , une religion nouvelle extraite des textes Hébreux, une histoire, une généalogie et les voilà Chrétiens. Une période, le médiéval et ses chevaliers qui défendent au nom du Christ , la femme et l’orphelin. Sauf que le caractère complexe de nos Celtes européens va vite transformer cette philosophie intellectuelle en différent mortel dès la renaissance, et ce jusqu’à la révolution. Nous ne sommes pas revenus à la philosophie celte, et nous ne sommes pas capables de trouver le courage de défendre notre histoire, et nos valeurs. Le doute est en nous, il nous a conduit à trois guerres avec les Germains et une fin minable de toutes les colonies Françaises et particulièrement de ce pays qu’ils avaient baptisé Algérie.
Deux ennemis frappent à la porte, l’islam voulu par nos dirigeants et accepté tacitement par le peuple de France, l’autre moins visible, le numérique qui va imposer une société sans raisonnement,( un ou zéro.) Si notre Celte , comme tous les Européens, est encore un chrétien libre, il doit avoir à l’esprit qu’un chrétien est d’abord un soldat qui doit défendre ses valeurs de liberté qui sont celles de ses ancêtres. Alors ou est donc passé le fier et courageux Gaulois chrétien devant la gestion politique minable de la pandémie et l’organisation d’une colonisation opposée à ses valeurs de vie en commun. L’histoire se suit mais ne se ressemble pas , cette fois nous sombrons encore plus bas que nos ancêtres, parce que nous avons perdu l’esprit. Et en perdant l’esprit , nous acceptons le mensonge républicain, alors nous perdons notre liberté individuelle.
Je crois que la citation est d’Henri Massis. Elle figurait comme telle dans les carnets de chants. Il se peut que Debray l’ait reprise…
Nous avons cru nous aussi lors d’une première publication qu’Henri Massis était l’auteur de cette citation. Nous avons appris, grâce à Christian Franchet d’Espèrey, preuves à l’appui, qu’elle est en réalité de Pierre Debray. Nous avons rectifié.