Cet aveu est extraordinaire et même inconséquent venant d’Edouard Herriot (1872 – 1957), homme politique central des IIIe et IVe Républiques, maintes fois ministre, Chef du gouvernement, président de la Chambre des députés (IIIe République) puis de l’Assemblée nationale (IVe République), éternel maire de Lyon, membre éminent du Parti radical et académicien français…
(Source : Yann Sinclair L’Eclectique)
Et fin connaisseur du système politique. N’en disait-il pas : »La politique c’est comme l’andouille il faut que ça sente un peu la merde mais pas trop »! Maintenant il trouverait la politique immangeable !
Tres bien
Bravo pour vos propos
Cordialement
Les vases félés ont ceci de bien qu’ils laissent passer la lumière. personne n’est vraiment à fond quelque chose , bon ou mauvais il y a des moments de repos…