Excellente critique, celle-là, de l’UE qui vit en parasite sur le dos des nations d’Europe. Il ne faut pas confondre, l’U.E. et l’Europe. La puce et le chien.
Analyse citée par David L’Epée sur sa page FB.
« Comme tout parasite, l’UE vit au détriment de son hôte. On comprend alors que l’enjeu pour l’Union européenne est de faire disparaître avant tout les compétences qui étaient l’apanage des anciens États et garantissaient les droits des peuples.
Il s’agit de de décider de la paix et de la guerre (processus en cours), battre monnaie (fait), lever l’impôt (processus en cours), contrôler les territoires (processus en cours), rendre justice et dire la loi (largement fait). Pour se faire, l’UE entend substituer aux droits des États (souveraineté nationale) et aux droits des peuples (souveraineté populaire) le cœur nucléaire du droit communautaire : les fameuses quatre libertés établies par l’Acte unique de 1986.
Elles correspondent aux libertés de circulation des capitaux (financiarisation), des marchandises (libre-échange), des services (travail détaché) et des personnes (immigration). La chose est formulée dès le Traité de Rome et correspond à l’ADN de la construction européenne. »
Pierre Yves Rougeyron, « L’UE, agent du chaos migratoire », dans le dernier numéro de Front Populaire.
Le Nouvel Ordre Européen n’a pas attendu l’U,E pour s’attaquer à la nation France.