Par Radu Portocala.
Après la série annoncée « Brigitte, une femme libre » (Gaumont), Emmanuel Macron des muscles et des stades…
Il y a eu, pour commencer, les photos de lui bronzé et rieur, faisant du jet ski – représentation parfaite du playboy des plages, censée peut-être flatter les clients des Restos du cœur.
Il y a eu, ensuite, dans le registre « je suis le chef, je gère le monde », les photos le montrant en tricot militaire, avec une barbe de trois jours, dans son bureau, là où il rectifie notre destin.
Il y a eu, voilà peu de temps, les photos le montrant avec des bras qui ne sont pas les siens, avec un rictus de gladiateur qui assène le coup fatal, cognant dans un sac de frappe qui symbolisait probablement le président russe.
Et il y a maintenant les images du match de football où il a joué dans l’équipe « Variété Club » (mais quel aveu extraordinaire !), avec le maillot couvert de réclames sous lequel les bras étaient plus modestes qu’il y a quelques semaines.
La pente de la démagogie grotesque étant glissante, celui qui assiste à cette mascarade trop souvent renouvelée est en droit de se demander quelle sera la prochaine étape dans cette course à l’abaissement de la France. ■
Ce billet cinglant est paru le 25 avril sur la page FB de son auteur.
Radu Portocala est écrivain et journaliste, spécialisé notamment en Relations Internationales.
Je le prenais pour un comédien c’est un mauvais comique un histrion une doublure un rambo de pacotille.. incapable de jouer son propre rôle il essaie d’attirer l’attention dans des rôles de composition alors qu’il manque de stabilité de conviction d’introspection. Sans personnalité il fluctue au gré des événements ménageant chèvre et chou et mécontentant « en même temps » tout le monde.
Clown un jour, clown toujours, pourquoi voulez que cet histrion change de comportement. Ce qui est grave, est que de ce pauvre type dépend notre avenir, et surtout celui de nos enfants. Comment les Français peuvent ils supporter un tel guignol à leurs têtes. Il est à l’image de cette triste république qui n’est rien d’autre qu’une mafia purulente. Vive le Roi.
Il est en train de SINGE R GISCARD, lui aussi voulait faire « peuple » et se prenait pour une vedette de cinéma,, un second rôle.
Aucun sens des valeurs …C’est triste pour un chef d’état