Le pronom possessif est révélateur, ne nous y trompons pas. « Notre Europe » dit Macron. Il parle vrai. La « nôtre » veut-il dire, celle des Bruxellois, de nationalité indéterminée. les Ursula von der Leyen, Charles Michel, Thierry Breton, etc.. et toute l’énorme technostructure de dizaines de milliers de fonctionnaires dotés de privilèges exorbitants, salariaux, fiscaux, sans compter ceux inavoués qui leur viennent des lobbies grouillant à Bruxelles, influenceurs de haut rang, distributeurs de « douceurs » sonnantes et trébuchantes pouvant atteindre des montants considérables. Ces gens-là ont peu à peu acquis tous les caractères, mœurs, réflexes, pratiques autoritaires, et cette vision totalitaire, propre aux anciens nomenklaturistes de la défunte URSS. Mathieu Bock-Côté a raison de désigner l’U.E. ainsi constituée comme un nouvel empire de type soviétique.
Ce n’est pas l’Europe de De Gaulle et d’Adenauer. Plutôt, on l’a dit, celle de Jean Monnet. Celle des marchés et des marchands, celle des « élites globalisées ». Ce n’est pas l’Europe des peuples historiques, celle des patries, nations, États, hérités de l’Histoire. Celle qui ne veut pas mourir. Celle qui nourrit aujourd’hui cette poussée identitaire, populiste, souverainiste, qui souffle sur l’ensemble du Continent européen. Celle-là, fondée sur deux millénaires d’Histoire et sur de grands peuples, apparaît plus difficilement mortelle que ne l’est la construction bruxelloise, artificielle, hétérogène, coupée des réalités populaires, toujours à la merci d’un grand coup de vent pour, finalement, la balayer. Macron le sait et à l’approche du 9 juin, il en a peur… Tous en ont peur.
Emmanuel Macron n’a sans-doute pas tort de mesurer combien « son » Europe, malgré sa puissance, malgré la volonté des oligarques qui la portent et de la ploutocratie qui la maintient en vie, est, en effet, mortelle.
« Que la bête meure » disaient jadis à l’intention de Marianne et de la société de consommation, la jeunesse d’Action française autour de mai 1968. Nous n’avons pas les mêmes inquiétudes qu’Emmanuel Macron. Que « son » Europe meure ne nous tirerait pas des larmes !
Oui la véritable Europe n’est pas celle de nos rêves.
il faut virer Monsieur Macron le plus rapidement
a lui seul ,, la dette de la FRANCE augmente
cordialement
Il n’y a pas grand chose dans la réalité du monde actuel qui soit conforme à nos rêves. C’est une évidence…banale. Mieux vaut d’ailleurs ne pas trop rêver quand on veut penser un peu la politique à mener en chaque matière. J’ai appris ça dans Bainville quand j’avais 14 ou 15 ans. Et je m’y suis tenu. Il n’était pas trop homme à rêver beaucoup.
Son europe, qu’il se la garde pour lui, nous, nous voulons notre France avec un Roi à sa tête et non un histrion pervers avec toute sa clique de bras cassés. Il est grand temps que les députés se décident enfin à mettre en place la destitution de ce traître, et de le juger pour haute trahison. Dans trois ans à l’allure où il va, il ne restera plus rien de notre pays.