L’arme suprême ne se partage pas !
En feignant d’ouvrir un faux débat sur le partage de notre arme nucléaire avec les autres États membres de l’UE, Macron joue contre la souveraineté de la France sous prétexte d’un danger russe qui menacerait nos intérêts vitaux.
L’argument était déjà le même en 1954 pour justifier la CED qui aurait placé la France sous commandement germano-américain et nous aurait interdit de posséder l’arme nucléaire. Maintenant que nous l’avons et qu’elle assure notre indépendance, la placer sous un commandement étranger serait un acte de haute trahison qui serait suivi, n’en doutons pas, du renoncement à notre siège permanent au conseil de sécurité de l’ONU.
Macron veut l’effacement de la France. Tous les patriotes français doivent s’unir pour l’en empêcher. ■
Communiqué.
tout à fait d’accord
Tout à fait d’accord
Il est grand temps de foutre cet énergumène dehors. Avec ce type, seuls les intérêts étrangers comptent.
Et que peut donc faire la petite France seule face aux grands empires dirigés par des nouveaux Hitler?
À M. Le Floch : Oui, nous sommes tous d’accord, mais ce ne sont que des paroles : il reste ENCORE à l’énergumène en question trois ans de mandat ; à moins de réaliser le voeu le plus cher de LFI et de son dangereux président, la nouvelle révolution dont il rêve tant, révolution avec à sa tête un nouveau Robespierre …….
Est-ce vraiment souhaitable ?
À Ariane : Ne pas se leurrer, il n’y a rigoureusement aucune différence entre LFI et «l’énergumène en question», sauf, à l’extrême rigueur, quelques nuances dans les différents moyens mis en œuvre pour arriver exactement à la même fin : disparition des identités culturelles, raciales, intellectuelles, religieuses, en général, et de celle de la France, fille aînée de l’Église, en particulier. Mais, lorsque l’on a dit cela, le débat n’est pas épuisé pour autant. Première alternative : «n’importe quoi sauf Macron» face à «tout sauf Mélenchon». Seulement, pour l’instant, la question ne peut pas se poser en pareils termes, justement en raison de la concurrence entre les «moyens» assenés par l’un et ceux mis en œuvre par l’autre. En effet, en cas de «nouvelle révolution», c’est les armes à la main et à coups de poing qu’il y aura lieu d’affronter l’ennemi (encore que lui tailler des croupières, ici, là et tout de suite est à envisager sérieusement) ; pour l’instant, c’est à renforts de bulletin qu’il y a lieu de compter les cinq cents, que nous fumes longtemps «à marcher avec un tel visage», pour, ayant ainsi redonner courage aux «plus épouvantés», se retrouver tantôt «trois mille en arrivant au port».
Et, qui plus est, «à la proportionnelle», donc pas d’hésitation tactique surfine à envisager, pas de dilemme cornélien du genre «le méchant-long préférable, ou non, au maque-rond, ou bien encore le glauque-sman», d’autant que ce dernier déchet pique allègrement des voix à son acolyte de poubelles (c’est toujours ça d’perdu!). Il faut semer le Bardella partout («qu’il est joli garçon l’assassin de papa», a déjà dit Georges Fourest), voilà tout ; à moins que, si la toute gente et préférable Marion confirmait être en mesure de se porter au-delà des 5% fatidiques, avoir le plaisir chevaleresque de déposer notre bulletin aux pieds de la dame.
Notre Président n’est pas le sujet de l’élection du parlement de l’UE. La rétrogradation de la France en sous-État est ce qui est en jeu. Quelles listes s’en préoccupent-elles ?
À Marc Vergier : le maqueron faisant de l’Europe le point de fixation de sa nécrose de la France, l’abcès qu’il constitue est plus que quoi que ce soit «le sujet de l’élection du parlement de l’U.E.», du moins pour les Français que nous sommes censés être encore un peu…
Cher David Gattegno : Il me semble qu’on peut faire d’une pierre deux coups en visant bien. Faire la nique à l’un et envoyer des anticorps déterminés au parlement de l’autre
Cher Marc Vergier, nous sommes exactement d’accord : «la nique», d’un côté ; «des anticorps», de l’autre !
Sans doute avais-je donc dû mal saisir l’intention de votre commentaire.