Par Radu Portocala.
Avec la vulgarité propre à pas mal de nos dirigeants actuels, la mairesse de Paris annonce sur le ton agressif qui lui tient lieu d’argument qu’elle a « ras la casquette » des « peine-à-jouir » qui refusent de s’offrir, comme elle, une interminable cascade d’orgasmes olympiques.
Que faut-il faire de ceux-là ? Leur infliger des amendes quotidiennes pendant toute la durée des réjouissances ? Les attacher à des poteaux de l’infamie ? Leur interdire de respirer ? Les envoyer en prison ?
Mais, en fin de compte, qu’avons-nous à faire de la « casquette » de cette personne ? Elle s’emploie depuis des années à détruire Paris et les Jeux olympiques lui offrent l’occasion de parachever ses funestes occupations. Que nous assistions à ces déchaînements contre cette ville ne lui suffit plus : elle veut nous voir applaudir. À l’heure des féminisations à outrance, Néron a trouvé enfin sa réincarnation la plus propice. ■
Ce billet cinglant est paru le 23 mai sur la page FB de son auteur.
Radu Portocala est écrivain et journaliste, spécialisé notamment en Relations Internationales.
Dernière publication sur laquelle nous reviendrons…
Nous avions pu repérer entre deux eaux l’existence du Maqueron en rupture de compteurs à relever – sans trop de souliers vernis et dont le merlan laisse, du reste, à désirer, à en juger par ses demi-teintes de moumoutes –, ce qui avait permis de dissimuler un tantinet la débitante de l’article : la poissonnière d’Hôtel de Ville, dont on a pu entendre la malpropre beuglante à l’étal de la criée municipale – voilà donc l’«économie d’marché».
Vulgarité pour vulgarité …je lis qu’il existe un appel aux citoyens riverains du fleuve d’aller déféquer dans la Seine et y vider leur pot de chambre en espérant qu’avec le courant cela vienne accueillir les exploits nautiques de Mr Macron et mme, Hidalgo .
On n’arrête pas le progrès ni la surenchère.
Pour grossier qu’il soit, cet appel me choque bien moins que l’attitude de notre président et du maire de Paris.
Cincinnatus a un peu raison de ramener l’analyse à des considérations simples. Ce qui n’est pas du ressort habituel de David Gattegno. Et pas non plus du ressort d’Anne Hidalgo ni d’Emmanuel Macron, êtres hors sol s’il en fut. À noter que je n’appellerai jamais, Macron « Maqueron » parce que ce n’est pas joli, et parce qu’il a un lot suffisant de vraies tares et de vices pour que je me donne la peine en plus, d’estropier son nom. Au profit d’un autre qui m’écorche, la langue et le goût. En plus, Pierre Boutang nous a appris le caractère sacré de nos « patronymes ». À ne pas toucher.
C’est bien la façon de » monter sur ses grands chevaux » d’une socialiste : la vulgarité, assortie à la façon dont elle souillone Paris .