Munich est universellement présenté comme symbole du renoncement. Et même comme symbole de la lâcheté des « démocraties ». Celles-ci n’en sont pas exemptes. Mais les réalités politiques internationales au temps des accords de Munich sont autrement complexes. Quelles furent-elles ? Comment les rapprocher des situations d’aujourd’hui ? Maurizio Serra en parle avec pertinence, liberté d’esprit et, évidemment, avec la rigueur qui s’impose à l’historien.
L’entretien Mathieu Bock-Côté / Maurizio Serra commence autour de la 24e minute.