Par Richard.
Qui nous a adressé hier – comme il le fait depuis des années – l’intéressante contribution que nous reprenons ci-après.
Ce fut une action providentielle que la fin pacifique du bloc soviétique. Sans aucune action démocratique ; c’est à noter : la démocratie étant simplement productrice de nullités avec son refus des hommes providentiels et de la grande Histoire. (nb : le rôle des Etats Unis, des « dissidents » de Jean Paul II n’auraient pas suffi à court – moyen terme du moins).
En premier lieu, Gorbatchev l’initiateur, libérant toute l’Europe de l’ Est (pour laquelle aucun dirigeant de l’Europe de l’Ouest ne fut jamais d’aucun secours).
En second lieu, Boris Eltsine pour dissoudre le monstrueux système communiste soviétique.
Enfin, Vladimir Poutine, pour sauver la Russie de la misère des années 1990 laquelle ne troublait guère l’Occident vautour attendant de récupérer les immenses richesses minières et agricoles et tout un peuple à mettre à son service (maintenant, l’Ukraine pourrait représenter le lot de construction, en quelque sorte)
Lorsque Soljenitsyne revint en Russie, il commençait à être critiqué par les milieux « autoproclamés » progressistes : réac, slavisme « douteux » et cetera.
La nuisance bolcheviste, sa rage destructrice était (est) bien en train de passer de l’Est à l’Ouest comme laboratoire du mal.
Il apparaît naturel, dès lors qu’Alexandre Soljenitsyne ait reçu, la courtoise visite et la remise de médaille de Poutine : deux défenseurs des valeurs traditionnelles de la Russie, à l’opposé des Wokes, des verts- crypto maoïstes, des libéraux-libertaires qui sont désormais à l’œuvre en France mais aussi dans toute l’Europe. ■