390 Avant JC : Brennus écrase les Romains à la bataille de l’Allia
A cette époque, la croissance démographique des tribus gauloises est telle qu’une partie d’entre elles part chercher de nouvelles terres, pour s’y établir : les unes s’en vont vers l’Est, et d’autres vers le Sud, franchissant les Alpes. A cette époque, aussi, Rome avait déjà grandi, mais n’était évidemment pas encore ce qu’elle allait devenir.
Le chef qui, vers le Sud, menait les Sénons – l’une des nombreuses tribus gauloises, originaires de la région de Sens – s’appelait Brenn, nom latinisé en Brennus (illustration : figure de proue du cuirassé Brennus – la dernière figure de proue d’un vaisseau de guerre – à partir d’un buste de Cérès, retravaillé)
Brennus ne cherchait, à proprement parler, ni à piller ni à conquérir pour conquérir : cette migration était simplement destinée à trouver de nouvelles terres pour s’y établir définitivement.
Mais, arrivés dans l’actuelle Romagne, les Gaulois trouvèrent des villes déjà bien implantées, qui n’avaient nulle envie de laisser s’installer les nouveaux venus, et qui, pour se défendre, firent appel à Rome – dont l’ascension, quoique lente, commençait…
Après avoir pris et pillé Clusium, Brennus se dirigea vers Rome – qui devait d’ailleurs, plus tard, appeler ager gallicus ces terres où elle vainquit finalement les Gaulois, après avoir été prise et ravagée par eux. Et les Romains parlèrent à cette occasion du « tumultus gallicus » – comme plus tard, lors des Guerres d’Italie – on parlera de la « furia francese ».
Le Sénat Romain lança alors un appel aux armes à tous les citoyens romains : l’affrontement eut lieu le 18 juillet 390, sur la rive gauche du Tibre, à l’endroit où s’y jette son modeste affluent, l’Allia. La défaite romaine fut si grave, que le 18 juillet (le Dies Alliensis) fut dès lors considéré comme un jour néfaste dans le calendrier romain.
Les survivants de l’armée romaine qui n’avaient pas fui dans les villes voisines se retranchèrent sur la colline du Capitole, assez facile à défendre : lorsque les Gaulois entrèrent dans Rome, il n’y trouvèrent plus que ceux qui n’avaient pu fuir ou se réfugier sur le Capitole.
C’est pendant la mise à sac de la ville que se place l’épisode célèbre – mais peut-être légendaire – des oies, alertant les défenseurs endormis d’un assaut par surprise des assaillants gaulois, leur permettant ainsi de préserver le Capitole et ses nombreux temples du sort qu’avait connu le reste de la ville.
En proie à la famine, les assiégés négocièrent leur reddition contre une rançon de 1.000 livres d’or; c’est là que se place l’autre épisode célèbre de la prise de la ville par les Gaulois : la pesée de la rançon, les Gaulois utilisant des poids truqués (ci dessus). Les romains ayant protesté, Brennus alourdira encore la balance portant les poids en y jetant son épée son épée, en prononçant le fameux Vae Victis (Malheur aux vaincus).
Mais, très vite, les Gaulois, rejetés et harcelés de toutes parts, durent se replier.
Quant à Rome, non seulement cet épisode tragique ne marqua pas sa fin mais, bien au contraire, les habitants tirèrent de ce malheur les leçons qui s’imposaient, et prirent dans tous les domaines – et notamment militaire… – les mesures énergiques qui leur permirent de redresser la situation : trois siècles après la venue des Gaulois dans Rome, ce seront les Romains qui viendront en Gaule, y changeant, pour toujours, le cours des choses.
1523 : Trahison du Connétable de Bourbon
Ce 18 juillet 1523, à Montbrison, celui qui est encore Connétable de Bourbon – c’est-à-dire, très concrètement, chef des armées ! – trahit son roi et sa patrie : il signe le pacte qui le lie désormais à Charles Quint, le pire ennemi de François 1er, et qui plus est allié du roi d’Angleterre Henri VIII.
Charles Quint est empereur d’Allemagne et roi d’Espagne (sous le nom de Charles 1er); il est aussi maître de la plus grande partie de l’Italie du Nord; le connétable de Bourbon, lui, possède un fief en plein cœur du royaume de France dont la superficie est, en gros, celle de la Bretagne ou de la Provence : il a, jusqu’ici, loyalement servi et le roi et la France, et fut l’un des artisans du triomphe de Marignan. Mais, pour des raisons multiples et variées, les liens se sont peu à peu distendus entre lui et François 1er.
Certains prétendent qu’il aurait été puni par la mère du roi François, Louise de Savoie, dont il aurait repoussé les avances. L’affirmation paraît un peu légère, et un peu courte : l’Histoire est pleine d’hommes ou de femmes ayant repoussé les avances d’une personne du sexe opposé sans, pour autant, trahir leur pays ! L’explication véritable est peut-être beaucoup plus simple : par son mariage avec sa cousine Suzanne, fille de Pierre II, duc de Bourbon, le Connétable avait acquis de vastes domaines, qui plus est, homogènes et d’un seul tenant, à la différence des princes de Bourgogne, dont la puissance venait de se fracasser, peu de temps auparavant, face à la ruse et à la ténacité de Louis XI (pour une vision d’ensemble de la famille de Bourbon, (éphéméride du 7 février).
Le Connétable était ainsi devenu immensément riche, et le faste de la cour qu’il entretenait éclipsait même, disent certains, celui du roi François ! Enfin, il restait le dernier grand féodal, face à une royauté qui, depuis son installation avec Hugues Capet avait, un à un, éliminé les grands féodaux et incorporé leurs domaines à la Couronne (les comtes de Toulouse, les Plantagenêts, les ducs de Bourgogne, les ducs de Bretagne.: François 1er, grand roi unificateur à l’intérieur, totalement encerclé, à l’extérieur par l’alliance anglo-habsbourgeoise, ne pouvait laissait subsister le danger que représentait l’existence, en plein centre du royaume, d’une telle puissance, qui l’obligeait, en quelque sorte, à négocier sans cesse avec le Connétable, à le ménager, voire à lui céder sur tel ou tel point.
Une fois la rupture consommée par la trahison du Connétable, celui-ci se mit au service de Charles Quint, en Italie : c’est là, à Romagnano Sesia, en 1524 – un an avant Pavie – que fut tué Bayard et que se place le dialogue resté fameux entre le Connétable, venu saluer le héros, et la réponse de celui-ci (gravure ci contre) :
« Ah ! capitaine Bayard, que je suis marri et déplaisant de vous voir en cet état ! Je vous ai toujours aimé et honoré pour la grande prouesse et sagesse qui est en vous. Ah ! que j’ai grande pitié de vous ! » Alors le mourant redressa la tête : Monseigneur, je vous remercie. Il n’y a point de pitié en moi, qui meurs en homme de bien, servant mon roi. Il faut avoir pitié de vous, qui portez les armes contre votre prince, votre patrie et votre serment. »
Puis, l’ex-connétable échafauda un plan d’invasion de la France avec Henri VIII et Charles Quint, les trois alliés devant envahir le pays en même temps, et donc de tous les côtés à la fois. L’ex connétable remplit sa part du contrat, en envahissant la Provence, depuis l’Italie du Nord où il s’était enfui. Il allait triompher, et avoir partie gagnée – s’octroyant même (par anticipation en quelque sorte !) le titre de Comte de Provence ! – après avoir conquis, une à une, toutes les grandes villes de la région, lorsqu’il échoua devant la dernière qu’il lui restait à conquérir, et qui était aussi la plus importante : Marseille, qui lui résista, le forçant finalement, après un siège qui fut un grave échec pour lui, à se retirer, précipitamment et en désordre, en Italie, d’où il était venu (éphéméride du 19 août).
Ni Henri VIII ni Charles Quint n’avaient bougé !
L’ex-connétable se vengea cependant peu après de François 1er : après avoir été l’un des principaux artisans du triomphe français de Marignan, en 1515, Bourbon fut le principal artisan de la déroute française de Pavie, dix ans plus tard, en 1525, au point que l’on peut dire que le roi de France fut, ce jour-là, battu par une armée étrangère, certes, mais commandée par un français.
Ce triomphe personnel ne devait pas avoir de lendemain pour l’ex-connétable : peu de temps après, le 6 mai 1527, il trouvait une mort inglorieuse dans la ville de Rome, alors qu’il la mettait à sac, avec ses lansquenets, soulevant l’indignation générale en Europe.
Tirée de notre album L’Aventure France racontée par les cartes, cette photo permet de bien comprendre le danger que représentait, pour une France totalement encerclée, les territoires détenus en plein centre du royaume par un personnage aussi riche et aussi puissant que le Connétable de Bourbon : François 1er s’empressa de confisquer – pour les réunir à la Couronne – les terres de l’ex Connétable; et il supprima l’office lui-même : désormais, et c’est encore le cas aujourd’hui, c’est le roi, le chef de l’Etat, qui est chef des Armées.
1574 : Henri III arrive à Venise
Anonyme vénitien : entrée d’Henri III à Venise.
A la gauche du roi, le doge Contarini et, derrière, le magnifique Bucentaure, bateau de cérémonie de la Sérénissime : rien n’était trop beau pour éblouir le roi de France et se concilier ses bonnes grâces
Personne ne le sait encore, mais l’on est à la fin de la dynastie des Valois, qui a succédé aux derniers Capétiens directs en 1328 (éphéméride du 1er février) mais qui – après 250 ans tout de même – ne terminera pas le siècle : dans quinze ans, presque jour pour jour, le 2 août 1589, Henri III sera assassiné (éphéméride du 2 août).
Pour l’instant, le roi Charles IX (ci contre) vient de mourir – peu après la Saint Barthélemy – et sa mère, la très influente Catherine de Médicis, qui a d’abord fait élire son fils préféré, Henri, au trône de Pologne, rappelle celui-ci pour venir régner en France, où il sera Henri III, même si elle pouvait choisir son dernier et plus jeune frère, François (qu’elle apprécie beaucoup moins et qui, du reste, décèdera en 1584, soit cinq ans avant l’assassinat de son frère).
Henri accepte l’ordre de sa mère, quitte la Pologne d’une façon rocambolesque, de nuit, et part vers son destin : devenir Henri III de France, le premier de nos rois assassiné (éphéméride du 30 juillet).
Mais, auparavant, cet homme jeune et séduisant, plein de vie et aimant la vie, souhaite s’offrir une parenthèse de fête et de plaisirs, avant de retrouver l’ambiance lugubre et sanguinaire de ces Guerres de religion qui ensanglantent la France : il veut visiter Venise, et pour plusieurs raisons.
Cette visite d’Henri III à Venise en 1574 est un voyage d’agrément pour un jeune homme qui connaît bien l’Italie et qui est, d’abord, attiré par Venise. Son Entrée va devenir une double démarche de séduction de la puissance invitante comme de l’invité :
• pour Venise, il s’agit de renouer des liens avec la France, d’abord distendus puis lentement restaurés par la commune opposition à la puissance excessive de l’Eglise romaine et à celle des Habsbourg, d’Espagne comme d’Autriche. En outre, Venise se doit d’accueillir avec pompe et magnificence le roi Très-chrétien pour se faire pardonner l’impium fœdum avec les Turcs. La France est, par ailleurs, l’un des plus puissants royaumes d’Europe, même ravagée par les Guerres de religion.
• pour Henri III (ci contre), ce voyage à Venise est l’occasion de profiter d’un inter-règne de luxe, de fastes et de volupté insouciante entre la très rustique Pologne d’alors et la France, qu’il ne sait que trop tourmentée par les guerres de religion; c’est aussi pour lui un acte de formation diplomatique internationale, l’occasion de nouer de précieux contacts diplomatiques avec l’une des grandes puissances de l’Europe d’alors.
Dans le même temps, c’est un acte de politique intérieure française puisqu’il est reçu par des princes étrangers et acclamé par des peuples étrangers en sa qualité de roi de France : il coupe court à toute tentative de contestation de sa légitimité par les instances françaises, en général, et par son jeune frère, François, en particulier.
Cette brillante et fastueuse visite, Marie Viallon, de l’Université de Lyon III l’a plaisamment racontée.
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1721 : Mort de Watteau
« Watteau a renouvelé la grâce » (Edmond de Goncourt).
1863 : Naissance de Frédéric Amouretti
S’il est vrai que la pensée régionaliste trouva son véritable maître en Charles Maurras, de nombreux auteurs en bâtirent les premières fondations : des plus connus comme Frédéric Mistral à de plus méconnus comme Frédéric Amouretti, ces auteurs ont, apporté les premières pierres essentielles à l’édification de la véritable pensée régionaliste.
Frédéric Amouretti naquit le 18 juillet 1863 à Toulon, et mourut le 29 août 1903, tout juste âgé de 40 ans.
Parti à Paris pour décrocher sa licence ès lettre Amouretti rencontra à Paris Frédéric Mistral et fut reçu félibre en 1882. Revenu en Provence, il entama une carrière de journaliste et de publiciste. Dès 1890, à peine âgé de 27 ans, il lança son premier journal avec son ami Bérenger, Le réveil du Provençal : Organe des revendications autonomistes de la Provence.
Prônant le fédéralisme et luttant résolument contre le jacobinisme républicain, Amouretti écrira, près de 30 ans avant l’Idée de Décentralisation de Maurras :
« En adoptant le plan de Sieyès, et en découpant la France comme matière inerte en départements tracés arbitrairement sur la carte, la Convention a anéanti ces admirables cadres historiques où les hommes, unis par l’identité des souvenirs, de la langue, des mœurs, des intérêts pouvaient bien s’entendre pour s’occuper de tout ce qui les touchait de près ».
Pour Amouretti, au contraire, et pour les « fédéralistes », il faut respecter la liberté des communes reliées entre elles selon « sis enclin istouri, ecounoumi, naturau… », ce qui passe par la suppression des départements au profit des anciennes provinces avec à leur tête « uno assemblado soubeirano, à Bourdèus, Toulouso, à Mount-Pelié, à Marsiho o à-z-Ais ». Ces assemblées devant jouir d’une autonomie complète en ce qui concerne l’administration, la justice, l’enseignement, les travaux publics.
Le Félibrige de Paris. Ses membres réunis autour de Frédéric Mistral. Maurras lui fait face, il a vingt ans.
L’engagement régionaliste d’Amouretti se concrétisa davantage avec la Déclaration des Félibres Fédéralistes du 22 février 1892, co-rédigée avec le jeune Charles Maurras, Amouretti pouvant être considéré, à bon droit, comme « lou paire e lou redatour de la declaracioun », les deux amis se lançant donc face à l’ennemi républicain et jacobin. Face aux multiples reproches de séparatisme ou d’anarchisme, Amouretti répondait :
« Quelle erreur ! C’est l’unitarisme au contraire qui mène la France au séparatisme. La fusion, c’est-à-dire l’anéantissement des nationalités particulières où vivent et se distinguent les citoyens en une nationalité abstraite que l’on ne respire ni ne connaît plus, voilà l’unité. Le fédéralisme au contraire, respectant les diversités ethniques et favorisant le libre développement de chaque région, est le plus grand ennemi du séparatisme en le rendant inutile ».
Amouretti avait compris que seule la voie monarchique et la présence d’un Roi au sommet de l’Etat pourrait permettre cette fédération :
« Il faut rétablir les provinces, leur rendre la gestion des intérêts provinciaux, surtout en matière de travaux publics, et rétablir les assemblées provinciales avec une compétence assez étendue pour qu’elles aient des sessions fréquentes, longues, fécondes, de nature à attirer l’attention, le respect, la vue. »
Sur Amouretti et Maurras, Je Suis Français a publié une étude très complète de Rémi Hugues, en 4 chapitres, à laquelle on peut se reporter avec profit.
Frédéric Amouretti, le « grand frère » de Maurras [1] [2] [3] [4]
1898 : Pierre et Marie Curie découvrent le polonium
Effectuant des recherches sur un minerai riche en uranium appelé Pechblende, le couple parvient à en extraire un premier élément radioactif : le polonium, nommé ainsi par Marie Curie en hommage à son pays natal, la Pologne.
En décembre, ils annonceront la découverte d’un autre élément, encore plus radioactif : le radium.
1921 : Mise au point du BCG
Le médecin Albert Calmette et le vétérinaire Camille Guérin mettent au point le vaccin antituberculeux, auquel ils donnent leur nom: BCG (bacille Calmette-Guérin).
Une première vaccination est effectuée sur un nouveau-né. Les deux chercheurs travaillaient depuis déjà quelques années sur le bacille tuberculeux, découvert par Robert Koch en 1882.
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L’éphéméride oublie exprès le défilé à Madrid de la victoire de FRANCO sur les communistes ?
(A Calmon) N’allez pas chercher le mal où il n’est pas ! Nos Ephémérides concernent exclusivement la France : nous n’avons pas vocation à écrire l’histoire du monde, nous ne sommes pas un cénacle d’érudits, et, si nous « montrons » la France et ce qu’elle fut à travers son histoire, c’est pour lutter contre ce Système qui s’est construit justement sur la négation, la haine et le rejet de nos Racines, de notre Patrimoine, de nos Traditions, de notre Histoiire, bref de notre « Être profond ». Nous parlons de personnalités étrangères lorsqu’elles ont un rapport direct avec notre Histoire : puisque vous parlez de Franco, nous évoquons l’entrevue d’Hendaye, entre lui et Hitler, le 24 octobre, en écrivant ceci :
« 1940 : Hitller rencontre Franco à Hendaye.
Evidemment, la teneur de l’entretien étant restée secrète, chacun peut, selon ses opinions politiques, donnner son explication de la chose : ce qui est certain c’est que le Caudillo – Galicien rusé… – refusa à Hitler toutes ses demandes, n’entra pas en guerre à ses côtés, et ne permit pas aux troupes de l’Axe le passage par l’Espagne, pour prendre à revers les forces françaises d’Afrique du Nord.
En agissant ainsi, Franco oeuvra de fait, non seulement dans le sens des intérêts de la France, mais encore de ceux de la paix (en refusant une extension encore plus grande du conflit…), de l’Europe et de la Civilisation.
Constatant son échec complet, et conscient de s’être fait berner, Hitler devait d’ailleurs déclarer, en substance, qu’il préférerait se faire arracher trois ou quatre dents plutôt que de recommencer une négociation avec un homme pareil…
Le lendemain, Htler connut un second échec d’importance : sur sa route de retour, il rencontra le maréchal Pétain, à Montoire. Pétain « se montra opposé à toute déclaration de guerre à l’Angleterre, comme à toute paix séparée, et, quelques semaines plus tard, manifesta spectaculairement ses réserves en éliminant Laval du pouvoir (13 décembre 1940) » (Michel Mourre). Pour mémoire, Pierre Laval, comme tant d’autres « collaborateurs », venait de la gauche : franc-maçon, député socialiste, très lié à la CGT, il était aussi très lié avec Jacques Doriot, maire communiste de Saint-Denis, lui aussi « collabo »… »
Rassuré ?
http://souvenirchouandebretagne.over-blog.com/2023/07/14-juillet-1793-paris.marie-anne-charlotte-de-corday-d-armont.iii.html
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IL Y A 230 ANS ENTRE LE 13 ET17 JUILLET 1793 : Marie-Anne Charlotte de Corday d’Armont et Marc-Antoine Charrier mis à mort le 17 juillet.
Noël Stassinet
Souvenir Chouan de Bretagne