754 : Pépin le Bref, premier roi sacré de l’Histoire de France
Sacre de Pépin le Bref par le pape Etienne II à Saint Denis, 28 juillet 754, par François Dubois, 1837, château de Versailles.
Clovis, fondateur de la dynastie des Mérovingiens, est considéré à juste titre comme le premier des rois de France.
Pourtant, il faudra attendre la seconde dynastie, celle des Carolingiens, pour que le sacre des rois de France devienne une réalité, et ce sera avec le fondateur de cette deuxième dynastie, Pépin le Bref.
Sacré une première fois en mars 752 par une assemblée d’évêques du royaume des Francs, Pépin le Bref, père du futur Charlemagne, fut de nouveau sacré, mais plus solennellement encore le dimanche 28 janvier 754, dans l’Abbaye de Saint-Denis, par le pape Etienne II.
Le premier monarque français à être couronné et sacré dans la cathédrale de Reims sera Louis le Pieux, fils de Charlemagne, en octobre 816, le dernier étant Charles X, le 29 mai 1825.
Soit trente-et-un souverains sacrés à Reims, quatre ailleurs, et deux non sacrés, en un peu plus de 1.000 ans.
27 juillet 754, Pépin le Bref est sacré roi des Francs
1214 : Victoire de Bouvines
Ce triomphe est, de fait, la première manifestation publique de la réalité de la nation française. Et sa célébration serait, sans aucune doute, une bien meilleure date de Fête nationale que le plus qu’ambigu 14 juillet. (Voir l’éphéméride du 14 juillet).
En un peu plus de deux cents ans, en partant de presque rien, les Rois Capétiens ont créé un État fort, qui leur a permis, en retour, de commencer à créer réellement et durablement la France. Quoique très incomplète, elle existe déjà: à l’intérieur, comme conscience nationale librement voulue et vécue; à l’extérieur, comme le premier royaume de l’Occident.
C’est en quelque sorte la valeur de l’œuvre des capétiens prouvée par l’Histoire.
LA BATAILLE DE BOUVINES : 27 JUILLET 1214
L’église de Bouvines, dont les vitraux racontent la bataille
A Bouvines, Philippe Auguste affronte l’empereur Otton IV de Brunswick, allié du roi d’Angleterre Jean sans Terre, et les coalisés flamands, emmenés par Ferrand. Contre toute attente, la bataille se déroule un dimanche, jour du Seigneur, car Otton est l’ennemi du pape. Il a été excommunié et déposé par le souverain pontife au profit de son rival, Frédéric II.
Avant la bataille, Philippe Auguste réunit ses hommes : « Je porte la couronne mais je suis un homme comme vous. » Et encore : « Tous vous devez être rois et vous l’êtes, par le fait, car sans vous je ne puis gouverner »…
Les deux camps s’affrontent de midi jusqu’au coucher du soleil (ci dessus), et face à la débâcle des ses troupes, Otton préfère fuir plutôt que d’être capturé. Philippe Auguste ramène à paris Ferrand enferré (ci dessous)…
Dans notre album L’aventure France racontée par les cartes, voir la photo « La France avant et après Philippe Auguste »
Pierre de Meuse a rédigé une excellente étude de la bataille de Bouvines, que nous avons publiée, en trois parties, dans notre catégorie « Racines » : Bouvines (I), Bouvines (II), Bouvines (III).
Il s’agit, en vérité, de bien davantage qu’un récit – quoique tout y soit décrit par le menu – et de bien davantage que d’une évocation. Mais, outre tout cela, d’une étude politique, militaire, historiographique de la bataille de Bouvines.
Cette immense victoire est aussi l’œuvre d’un de nos plus grands rois : Philippe II, justement appelé Auguste.
De Jacques Bainville, Histoire de France, Chapitre V, Pendant 340 ans, l’honorable famille capétienne règne de père en fils
« Pour conduire cette lutte contre l’État anglo-normand, il se trouva un très grand prince, le plus grand que la tige capétienne eût donné depuis Hugues Capet. Philippe Auguste, devenu roi avant l’âge d’homme, car il était né tard du second mariage de Louis VII, fut d’une étonnante précocité. Chez lui, tout était volonté, calcul, bon sens et modération. En face de ces deux fous furieux, Richard Cœur de Lion et Jean sans Terre, fils d’Éléonore et d’Henri Plantagenet, Philippe Auguste représente le réalisme, la patience, l’esprit d’opportunité. Qu’il allât à la croisade, c’était parce qu’il était convenable d’y aller. Il rentrait au plus vite dans son royaume qui l’intéressait bien davantage, laissant les autres courir les aventures, profitant, pour avancer ses affaires, de l’absence et de la captivité de Richard Cœur de Lion. Chez Philippe Auguste, il y a déjà des traits de Louis XI. Ce fut, en somme, un règne de savante politique et de bonne administration. C’est pourquoi l’imagination se réfugia dans la légende. La littérature emporta les esprits vers des temps moins vulgaires. Le Moyen Âge lui-même a eu la nostalgie d’un passé qui ne semblait pas prosaïque et qui l’avait été pareillement. Ce fut la belle époque des chansons de geste et des romans de chevalerie. Le siècle de Saladin et de Lusignan, celui qui a vu Baudouin empereur de Constantinople, a paru plat aux contemporains. Ils se sont réfugiés, pour rêver, auprès de Lancelot du Lac et des chevaliers de la Table Ronde. Il faudra quatre cents ans pour qu’à son tour, fuyant son siècle, celui de la Renaissance, le Tasse découvre la poésie des croisades.
Philippe Auguste n’avait qu’une idée : chasser les Plantagenets du territoire. Il fallait avoir réussi avant que l’empereur allemand, occupé en Italie, eût le loisir de se retourner contre la France. C’était un orage que le Capétien voyait se former. Cependant la lutte contre les Plantagenets fut longue. Elle n’avançait pas. Elle traînait en sièges, en escarmouches, où le roi de France n’avait pas toujours l’avantage. Henri, celui qu’avait rendu si puissant son mariage avec Éléonore de Guyenne, était mort. Richard Cœur de Lion, après tant d’aventures romanesques, avait été frappé d’une flèche devant le château de Chalus : ni d’un côté ni de l’autre il n’y avait encore de résultat (illustration ci contre : dispute entre Philippe Auguste et Richard Coeur de lion, ndlr). Vint Jean sans Terre : sa démence, sa cruauté offrirent à Philippe Auguste l’occasion d’un coup hardi. Jean était accusé de plusieurs crimes et surtout d’avoir assassiné son neveu Arthur de Bretagne. Cette royauté anglaise tombait dans la folie furieuse. Philippe Auguste prit la défense du droit et de la justice. Jean était son vassal : la confiscation de ses domaines fut prononcée pour cause d’immoralité et d’indignité (1203). La loi féodale, l’opinion publique étaient pour Philippe Auguste. Il passa rapidement à la saisie des terres confisquées où il ne rencontra qu’une faible résistance. Fait capital : la Normandie cessait d’être anglaise. La France pouvait respirer. Et, tour à tour, le Maine, l’Anjou, la Touraine, le Poitou tombèrent entre les mains du roi. Pas de géant pour l’unité française. Les suites du divorce de Louis VII étaient réparées. Il était temps.
Philippe Auguste s’occupait d’en finir avec les alliés que Jean sans Terre avait trouvés en Flandre lorsque l’empereur Othon s’avisa que la France grandissait beaucoup. Une coalition des rancunes et des avidités se forma : le Plantagenet, l’empereur allemand, les féodaux jaloux de la puissance capétienne, c’était un terrible danger national. Si nous pouvions reconstituer la pensée des Français en l’an 1214, nous trouverions sans doute un état d’esprit assez pareil à celui de nos guerres de libération. L’invasion produisait déjà l’effet électrique qu’on a vu par les volontaires de 1792 et par la mobilisation de 1914. Devant le péril, Philippe Auguste ne manqua pas non plus de mettre les forces morales de son côté. Il avait déjà la plus grande, celle de l’Église, et le pape Innocent III, adversaire de l’Empire germanique, était son meilleur allié européen : le pacte conclu jadis avec la papauté par Pépin et Charlemagne continuait d’être bienfaisant. Philippe Auguste en appela aussi à d’autres sentiments. On forcerait à peine les mots en disant qu’il convoqua ses Français à la lutte contre l’autocratie et contre la réaction féodale, complice de l’étranger. Il y a plus qu’une indication dans les paroles que lui prête la légende au moment où s’engagea la bataille de Bouvines : « Je porte la couronne, mais je suis un homme comme vous. » Et encore : « Tous vous devez être rois et vous l’êtes par le fait, car sans vous je ne puis gouverner. » Les milices avaient suivi d’enthousiasme et, après la victoire qui délivrait la France, ce fut de l’allégresse à travers le pays. Qui oserait assigner une date à la naissance du sentiment national ?
Ce règne s’acheva dans la prospérité. Philippe Auguste aimait l’ordre, l’économie, la bonne administration. Il se contenta de briser le royaume anglo-normand et d’ajouter au territoire les provinces de l’Ouest, de restituer la Normandie à la France. Il se garda d’aller trop vite et, après Bouvines, d’abuser de la victoire… »
1675 : Mort de Turenne
Lors de la bataille de Sasbach, contre Montecuccoli, un boulet vient tuer Turenne et ravir ainsi « le plus grand capitaine et le meilleur homme qui fut » (Louis XIV).
En apprenant sa mort, Montecuccoli déclara : « Il est mort aujourd’hui un homme qui faisait honneur à l’homme ! »…
Privilège rarissime, le Roi lui témoignera la reconnaissance de la France en le faisant inhumer à Saint Denis (seuls l’ont été en dehors de lui Charles Martel et Bertrand du Guesclin).
« Ils ont traversé le Rhin !… » L’armée française l’avait fait une première fois le 12 juin 1672, en présence de Louis XIV, au gué de Tholuis, lors de la guerre contre la Hollande.
Puis plusieurs fois, « avec Monsieur de Turenne », durant l’hiver 1674/1675 : le maréchal conduisait alors, contre les forces impériales, une campagne militaire en Palatinat à laquelle les dragons de Noailles participèrent vaillamment : remportant les victoires de Mulhausen et Turckheim ils libérèrent l’Alsace et repoussèrent ainsi les Allemands au-delà du Rhin.
La musique de la marche des dragons de Noailles est composée en 1678 par Jean Baptiste Lully, surintendant de la musique du roi Louis XIV. Cette oeuvre est créée en souvenir du vicomte Henri de la Tour d’Auvergne, maréchal de Turenne, et en l’honneur de ses dragons. Les paroles expriment un vif sentiment de fierté d’avoir vaincu une puissante armée ennemie supérieure en nombre, et ramené une province au royaume de France :
« Un seul prince par la grâce du roi de France, à la tête de 20.000 hommes, avait fait repasser le Rhin à cinq princes par la grâce de Dieu »…
• Ecoutez cette grandiose musique de Lully :
• Et, dans notre album Drapeau des Régiments du Royaume de France, voir les deux photos de drapeau du Régiment de Turenne (devenu Régiment du Maine).
1675 : Mort de Nicolas Saboly
Né à Monteux, dans le Comtat Venaissin, et mort en Avignon, Nicolas Saboly était musicien et compositeur. Il est surtout connu pour ses Noëls, authentiques chefs d’oeuvre de la culture populaire. Il est ainsi l’auteur de l’air du Noël « Guihaume, Toni, Pèire… » qu’a repris Mistral pour la Coupo santo, mais en l’utilisant d’une façon beaucoup plus lente et solennelle, alors que le Noël de Saboly – lui – est au contraire assez rapide et enlevé.
« Pèr Nouvé, i Prouvençau fau Saboly, coume pèr Pasco, ié fau d’iòu e pèr Rampau un tian de cese (Pour Noël, aux Provençaux, il faut Saboly, comme pour Pâques, il faut des œufs, et pour le dimanche des Rameaux un gratin de pois- chiches) » (Mistral)
Pour Bruno Durand (conservateur de la Bibliothèque Méjanes d’Aix-en-Provence), « Nicolas Saboly est, avec Bellaud de la Bellaudière, un chaînon d’or de la chaîne qui unit Mistral aux troubadours ».
Et pour Charles Rostaing (professeur à la Sorbonne), « L’influence de Saboly a été considérable : il a été l’un des maîtres de Roumanille et de Mistral ».
La fontaine Nicolas Saboly, à Monteux, sa ville natale, dans le Comtat
Les noëls provençaux de Nicolas Saboly
Dans notre album Maîtres et témoins.(I) : Frédéric Mistral. voir la photo « Micoulau Saboly, de Monteux »
1762 : Mort de Bouchardon
Il était appelé indifféremment Edmé Bouchardon, ou Edme Bouchardon.
Del’Encyclopedia universalis :
« Sculpteur parmi les plus illustres sous le règne de Louis XV, Bouchardon est considéré par ses contemporains comme l’artiste qui a « amené le goût simple et noble de l’antique » (Cochin). Son rôle fut en effet celui d’un précurseur : alors que les Adam et les Slodtz portaient à son extrême épanouissement le style rocaille, il s’en détourna pour se faire l’interprète du mouvement culturel qui, à partir de nouvelles connaissances archéologiques, préconisait le retour à un idéal classique. Son œuvre, accomplie avec une rigueur de théoricien, annonce et, dans une certaine mesure, prépare le classicisme de la fin du siècle ; appréciée par les fervents de l’art antique, tel le comte de Caylus, elle ne rencontra pas la faveur du grand public.
Bien qu’il ait exercé après sa mort une influence considérable, E. Bouchardon n’a pas formé une école ; ce n’est pas son élève Vassé, mais Pigalle, qu’il indiqua lui-même comme son véritable successeur… »
1917 : Loi instituant la qualité de Pupille de la Nation
Durant la Guerre de 14, c’est près d’un million d’enfants qui furent privés de leur père, tombé au Champ d’honneur.
1934 : Mort de Lyautey
De Michel Mourre (Dictionnaire Encyclopédique d’Histoire) :
« …Cultivé, attiré par les Lettres, ce royaliste légitimiste fut également séduit par le catholicisme social d’Albert de Mun. Dans son étude intitulée Du rôle social de l’officier dans le service social universel et publié en 1891 dans La revue des Deux-Mondes, il montra la noble conception humaine qu’il se faisait de son métier. Après avoir servi en Algérie (1880-1882), il fut envoyé en 1894 au Tonkin, où il rencontra Galliéni, et celui-ci le fit venir auprès de lui à Madagascar (1897). Rentré en France en 1902, il fut appelé deux ans plus tard par Jonnart, gouverneur de l’Algérie, au commandement de la subdivision d’Aïn-Sefra. Commandant de la division d’Oran (1906), il s’empara d’Oujda (mars 1907). Rappelé en France en 1910 et nommé commandant du corps d’armée de Rennes, il devint en avril 1912 le premier résident général de France au Maroc. Il sut conquérir l’estime des Marocains par son sens naturel de la grandeur, par son respect des croyances et des coutumes de l’Islam, mais il posa en même temps les bases économiques du Maroc moderne.
Ministre de la Guerre dans le cabinet Briand (déc. 1916-mars 1917), il revint au Maroc. Il fut fait Maréchal de France en 1921. Son attitude de proconsul le fit considérer avec suspicion par la gauche, portée au pouvoir lors des élections de 1924. Painlevé lui ayant enlevé le commandement des troupes engagées contre Abd el-Krim pour le confier au Maréchal Pétain, Lyautey donna sa démission (sept. 1925) et rentra en France. Son corps, d’abord inhumé à Rabat, fut ramené en France et déposé aux Invalides en 1961 (ci dessous). Lyautey était entré à l’Académie française dès 1912″.
1942 : mort d’André Zirnheld
1942 : Aux origines du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence
Cela en étonnera sans doute plus d’un, mais pour remonter aux sources du si célèbre et si remarquable Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence il faut remonter à 1948, se rendre à Marseille, et évoquer l’entente et l’amitié de trois personnes : la comtesse Lili Pastré, Gabriel Dussurget (qui restera à la tête du Festival jusqu’en 1973) et Roger Bigonnet, représentant de la Société du Casino municipal d’Aix Thermal…
La comtesse Lily Pastré (1891-1974), personnalité incontournable de la cité phocéenne, était pour partie d’origine slave, et vivait dans une bastide magnifiquement implantée dans un immense parc, entre Marseilleveyre et la Pointe Rouge : des hectares de chênes verts, des pins d’Alep ainsi qu’un genévrier qui abrita – dit-on… – les amours de Bonaparte et Désirée Clary entouraient sa propriété (ci dessous) qu’elle légua à la Ville de Marseille.
La comtesse Pastré fut longtemps richissime. Son mari Jean Pastré était l’héritier du vermouth Noilly-Prat dont le siège social occupait à Marseille une grande partie de la rue Paradis. Pendant l’Occupation allemande, elle avait secouru et protégé de nombreux artistes et intellectuels pour la plupart d’origine juive : la famille d’André Masson, des musiciens comme Pablo Casals, Clara Haskill et Youra Guller…
Le 27 juillet 1942, sur la terrasse de Montredon où se déroulaient des concerts privés, elle avait financé la représentation du Songe d’une nuit d’été, et, par cette superbe soirée d’été, la distribution fut éclatante. Pourtant, de l’avis général, et malgré la beauté du lieu, celui-ci se révéla inapproprié (notamment pour des raisons d’acoustique, dues en partie à la proximité de la mer et à la brise marine, aussi légère soit-elle…) : six ans après la soirée marseillaise, les amis mélomanes, qui s’étaient mis en quête d’un autre endroit, finirent par jeter leur dévolu sur la ville d’Aix-en-Provence, qui avait l’avantage d’offrir un grand nombre d’espaces fort différents, chacun convenant à tel ou tel type de spectacles, la Cour de l’Archevêché (ci dessous) s’imposant très rapidement comme le lieu emblématique du nouveau Festival …
Le nouveau festival fut tout de suite pensé, et placé, sous les auspices de Mozart : »Depuis l’évocation d’Aix, une œuvre lyrique chantait dans ma tête. Fiordiligi et Dorabella descendaient comme de légers fantômes le cours Mirabeau, et Mozart me vint aux lèvres… », raconte Gabriel Dussurget : c’est en effet Cosi fan tutte qui fut donné lors du premier festival, en juillet 1948.
« La beauté sauvera le monde », disait Dostoïevski : la Provence, terre de Festivals, est bien placé dans cet élan vers le Beau, elle où se tiennent chaque année trois des plus grands Festivals du monde : en plus de celui d’Aix, les Chorégies d’Orange (éphéméride du 17 juin) et le Festival de La Roque d’Anthéron (éphéméride du 27 août).
Cette éphéméride vous a plu ? En cliquant simplement sur le lien suivant, vous pourrez consulter, en permanence :
Chers amis,je ne vous apprends rien en vous disant que notre patrimoine historique,culturel et artistique est phénoménal;qu’il faudrait plusieurs vies pour en connaitre la totalité.Néanmoins,sachons que la plus part des Français ne connaissent pas l’histoire ,la fondation de l’état nation par vos vaillants souverains.Les Français sont anesthésiés par le consumérisme et par le matraquage,lavage de cerveau qui se résume à:faites ce que je dis et(surtout)pas ce que je fais.On voit le résultat car le pouvoir en place ne peut rien construire de positif,de solide sur Le Mensonge.Courage,lucidité et perséverance.
Quoique,j’ai tendance a croire que les choses s’ameliorent
quand meme depuis quelques années.
Le mouvement est certes recent mais réél.
Il suffit de constater les reussites suivantes en terme d’audience;
1.Le livre de Laurent Deutsch sur Paris et son histoire.
Plus de 2 Millions d’exemplaires vendus en 2 ans.
Ce qui est tres rare en France de nos jours.
2.Les disques de Nolwen Leroy reprenant des chansons enfantines Bretonnes et Françaises mais accompagnées de musique actualisée.
Sa reussite rend fous de rage les commissaires politiques
de la Boboitude diversifiante.
3.Les audiences de secrets d’histoire de Stephane Bern
sur la royauté française a travers les siecles.
4.Les audiences sur les programmes TV presentant
les plus beaux villages de France.
5.L’echec de la serie « inquisition » qui tente de travestir l’histoire de l’eglise et des rois.
etc etc etc.
Plus les choses iront mal de mal plus les gens iront se retourner vers leur passé qui exclut la presence envahissante de la diversitude.
La France de toujours est de retour c’est une evidence.
Quoique,j’ai tendance a croire que les choses s’ameliorent
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Le mouvement est certes recent mais réél.
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La comtesse Pastré, son fils monsieur Pierre, c’est aussi le château Davignon en Camargue, madame Double et monsieur Prat avec son chauffeur, Adolphe Musson, mon grand’oncle. Un autre monde !