Le Royaume-Uni est soumis à de graves émeutes. Certains accusent « l’extrême droite » d’en être responsable.
On semble souvent oublier qu’à l’origine de ces émeutes, évidemment condamnables, on trouve le massacre de trois fillettes par un fils d’immigrés rwandais, qui a suscité la colère du pays. Ce crime atroce a été interprété comme un symbole de la radicalisation des tensions interethniques.
Diversité
On oublie alors de mentionner que la désagrégation de la société britannique ne date pas d’hier. Celle qu’on appelle la «classe ouvrière blanche» en a particulièrement souffert.
L’exploitation sexuelle de jeunes filles britanniques par un gang pakistanais, pendant des années, à Telford, en a donné un bon exemple. Le tout fut révélé en 2018. Les services sociaux de la place connaissaient pourtant la situation depuis longtemps, mais personne n’osait dénoncer la chose, de peur de se faire traiter de raciste.
La question n’était pas de savoir si la situation sociale exploserait, mais quand, d’autant que l’opposition à l’immigration massive, au Royaume-Uni, ne dispose pas vraiment de véhicule politique, à la différence des pays continentaux.
Évidemment, ces émeutes sont condamnables, car la violence politique est toujours à proscrire. S’en prendre à un foyer de migrants est absolument injustifiable. On tend à l’oublier, mais une société qui se réchauffe politiquement voit remonter à la surface les sentiments les moins honorables, les comportements les plus répréhensibles.
Il ne faudrait toutefois pas oublier que les «Britanniques de souche» ne sont pas les seuls émeutiers. On trouve aussi des milices islamistes armées, qui n’hésitent pas à exercer leur souveraineté sur ce qu’elles considèrent être un territoire conquis. Elles ne sont pas étrangères au racisme antiblanc.
Dans tout cela, le gouvernement travailliste est résolu à faire preuve de la plus grande sévérité. Très bien: on ne fait pas de compromis avec la violence.
La chose étonne toutefois de la part de Keir Starmer, le premier ministre britannique, qui s’était montré très compréhensif au moment des émeutes raciales qui ont suivi la mort de George Floyd, en 2020, aux États-Unis. Elles ont pourtant causé d’immenses ravages – ceux qui parlaient à l’époque de manifestations pacifiques mentaient ouvertement.
Y a-t-il ici un deux poids deux mesures ?
Violence
Starmer entend aussi profiter de la situation pour restreindre le périmètre de la liberté d’expression, en contrôlant encore plus les réseaux sociaux. On s’en doute, toute remise en question de l’immigration sera assimilée à un propos haineux à interdire.
Fondamentalement, ces émeutes sont la conséquence d’une société transformée autoritairement par cette immense entreprise d’ingénierie sociale qu’a été l’immigration massive depuis 50 ans. Le «vivre-ensemble» entre des populations trop culturellement différentes, de civilisations incompatibles, est une lubie de technocrates et d’idéologues.
Le mythe de la diversité heureuse s’effondre.
Et tous, vraiment tous, en sortent perdants. ■
Personnellement j’en ai rien à faire que l’on me traite de raciste car au fond de mon âme j’en suis tout à fait ignorante, pas pour la religion évidemment car Elle a été et demeure mon lien de vie avec le Très Haut. Mon époux était Antillais et j’ai subi des vexations contre ma couleur blanche en Guadeloupe, j’ai été obligée de protester avec calme et sérénité ! En Martinique non car je mentirai si je disais que j’avais subi du rascisme ! Mais en Métrople mon époux qui était Normalien et ancien militaire a pu, hélas, subir ces dévoiements qui ne devraient pas exister sauf quand on constate que le sang de nos enfants est sur le sol et que tout le monde s’en « fout éperdument ». Ici les gens ne savent rien sur la Narbonnaise, ni sur le massif des maures et ils ne savent pas que l’Espagne avait abandonné son pouvoir pour être aidée par des musulmans. Je ne vais pas ici faire un cours d’Histoire les gens n’ont qu’à lire et réfléchir. De même que pour les horreurs de la Vendée soutenues par robespierre (l’amour de la mélanche qui s’y voit sans nul doute). Mais pourquoi tant de gens irresponsables et pratiquement illétrés, c’est si aisé de lire et de comprendre ?
Nous sommes tous « racistes » à des degrés divers; combinaisons de préférences, de tempérament, de situation sociale, d’histoire personnelle, d’éducation, de maîtrise de soi, de bienveillance. Pour ceux que cette affirmation choque, je la formule autrement: personne n’est conçu immaculé de ce péché qu’est la non-indifférence à ceci ou à cela.
Il est, en tout état de cause, un péché encore plus grave: poser au parfait et accuser les autres pour mieux les dominer, se livrer à des provocations incessantes, violer l’intimité, nier les affinités, les familiarités, exciter la bête sauvage. C’est cette véritable monstruosité que nous subissons en permanence de la part de nos maîtres et des voix-de-nos-maîtres.
Imagine-t-on un prêtre, un pasteur, un moine, mais aussi un sage, un professeur, un philosophe, un psychologue, toute autre personne normale se comportant ainsi ? Il serait à fuir. « Ne nos inducas in tentationem » est une sorte de onzième commandement qui s’impose à Dieu lui-même. On ne lui enverrait donc pas dire; on lui cracherait au visage : « Ne nous laisse pas entrer en tentation ».
Seuls les gourous pervers narcissiques, provocateurs, exploiteurs et manipulateurs osent agir de la sorte. Nos donneurs de leçon professionnels relèveraient-ils de ce diagnostic psychopathique?