Cette vidéo typique du wokisme systémique de France Inter et des obsessions de la chaîne ne date pas d’hier mais d’octobre 2023. Elle ressurgit pourtant dans les réseaux sociaux où elle fait recette. Signe des temps ? Revoyons-la !
Ces bonnes femmes – physiquement, gestuellement, linguistiquement et volontairement caricaturales du tropisme woke – sont des harpies totalitaires proprement insupportables.
Il n’y aura aucun changement politique profond en France si on ne les vire pas du service public à moins qu’on soit capables de les rééduquer façon Mao.
Samuel Fitoussi fait ce qu’il peut. C’est à dire avec assurance, intelligence et talent. G.P.
2 commentaires pour “Le wokisme est-il un danger pour la culture ? La question qui fâche sur France Inter… avec Samuel Fitoussi”
Des harpies. C’est le mot .
Seul face à *elles*. La parité n’est pas convoquée quand cela arrange .
Il n’empêche, Samuel Fissouti a quand même le rôle du coq dans la basse cour.
Ces wokes et autres partisans de la cancel culture importée du gauchisme culturel américain, sont les descendants des terroristes jacobins déchristianisateurs, des bolcheviks prétendant fabriquer l’homme nouveau, des gardes rouges de la révolution culturelle chinoise et de leur volonté d’éradiquer le passé, des talibans détruisant à coups de canon les Bouddhas de Bamiyan et des Khmers rouges et de leur entreprise d’effacement des traditions et moeurs de leur pays. Sinistre engeance, animée par ce que Spinoza appelait les passions tristes, le ressentiment, la haine, l’esprit de vengeance.
Des harpies. C’est le mot .
Seul face à *elles*. La parité n’est pas convoquée quand cela arrange .
Il n’empêche, Samuel Fissouti a quand même le rôle du coq dans la basse cour.
Ces wokes et autres partisans de la cancel culture importée du gauchisme culturel américain, sont les descendants des terroristes jacobins déchristianisateurs, des bolcheviks prétendant fabriquer l’homme nouveau, des gardes rouges de la révolution culturelle chinoise et de leur volonté d’éradiquer le passé, des talibans détruisant à coups de canon les Bouddhas de Bamiyan et des Khmers rouges et de leur entreprise d’effacement des traditions et moeurs de leur pays. Sinistre engeance, animée par ce que Spinoza appelait les passions tristes, le ressentiment, la haine, l’esprit de vengeance.