Excellent dessin de Miège, comme toujours. Repris des réseaux sociaux…
Autrefois, tout ce qui s’intéressait à la chose publique – étudiants, universitaires, monde des affaires, citoyens politisés – lisait chaque jour Le Monde, d’accord ou pas, avec une certaine dose de respect et d’obligation mêlés.
Aujourd’hui, tout cela a fondu comme neige au soleil. Lui reste le soutien de la la rédaction de France Inter et consorts. On se tient par la barbichette pour tenter de survivre à la contestation montante. Pour l’instant, on y résiste. Pour combien de temps ? GP
Le Monde ou la Pravda du politiquement correct. Lire ce journal aujourd’hui vous donne l’impression de subir une séance de rééducation idéologique. J’étais un lecteur assidu du Monde lorsque j’étais étudiant, au début des années 70 et j’ai cessé de l’être lorsque l’islamo-gauchiste Edwy Plenel en a pris la direction. Aujourd’hui le Monde chaque jour propose à la petite-bourgeoisie progressiste woke les deux ou trois lieux-communs qui vont lui servir de pensée en la persuadant qu’elle est dans le camp du Bien, celui qui ne souffre pas de contestation ou même de simple tiédeur à son égard. Que ce soit à propos de l’immigration, des moeurs, de l’Europe, des migrants, de la politique française vous trouvez dans ce quotidien tout ce qu’il faut penser pour incarner la Vertu. La version plus vulgaire de cette bien-pensance vous la trouvez dans Libération, le frère jumeau du Monde, mais version débraillée.