Se taire, admirer, s’émerveiller du génie français qui a voulu et su, hier, construire ces merveilles et, aujourd’hui encore, les restaurer. Merveilleuse permanence du goût et du savoir-faire, des hommes du passé jusqu’à ceux du présent. S’incliner, saluer, rendre hommage, remercier le Ciel. ■ JSF La Rédaction.
Marie Laure Dupont est à Notre Dame de Paris. Remerciements.
Merci pour maintenir en vie cette cathédrale…mais je n’aime pas ce blanc tout neuf je n’aime pas ce sentiment de vide , je regrette toutes les générations qui ont soufflé sur ces murs pour les assombrir et qui y avaient laissés un peu de leur âme. Autrefois les murs des églises étaient recouverts de peinture elles étaient pleines de visiteurs et de fIdèles de bougies qui polluaient murs et atmosphère , pleines de vie et on s’y réfugiait en paix. De nos jours on a peur d’y être attaqué ou pris dans acte de vandalisme quand on ne trouve pas les portes fermées. La Nôtre Dame de Victor Hugo a vécu ..le neuf a pris sa place…et ce neuf a beaucoup à apprendre.
Le neuf se corrige de soi -même pourvu qu’il y ait des cierges allumés, des souffles d’une humanité de retour et assez de siècles devant soi pour se refaire une patine acceptable : celle du temps. Rien de tout, cela n’est garanti.
Au delà de l’histoire et de l’image qu’en a fait Victor Ugo, la Cathédrale de Paris : c’est dans nos temps moderne le résultat magnifique du savoir faire de tous ces ouvriers dans ce monde de crétins prétentieux.
C’est l’espoir du renouvellement dans la continuité!
Merci à tous ces inconnus, qui nous montrent le vrai, face à l’idéologie dominante de la planification collective et à la multiplication des normes qui étouffent l’existence.
Ce sont les laboureurs de monsieur de la Fontaine.