Par Jean de Maistre.
Voir dans nos colonnes : C’est simple, efficace et lamentable !
La Commission de Bruxelles demande à tous les États membres de l’Union européenne de promulguer dans les plus brefs délais une loi imposant la promotion à l’école des mœurs, des modes de vie et des valeurs LBGT, et assurant la liberté de genre aux enfants à partir de l’âge de deux ans. La loi devra prévoir des sanctions administratives allant jusqu’au licenciement des enseignants refusant de la respecter, ainsi que des poursuites pénales à l’encontre des parents s’y opposant.
D’autre part, la loi devra définir l’organisation dans toutes les écoles d’une formation pratique à l’homosexualité, conduite par les représentants les plus autorisés de la communauté LBGT. À terme, la loi des divers pays européens devra viser à limiter, autant que faire se peut, le recours à l’hétérosexualité, pratique rétrograde incompatible avec les valeurs d’une Europe moderne, ouverte et tolérante.
La reproduction, quant à elle, pourra être plus rationnellement organisée par un recours systématique à la PMA et à la GPA, l’enfant étant, dans une société de marché, une marchandise commerciale comme une autre. La Commission européenne des droits de l’homme, rebaptisée Commission européenne des droits LBGT, veillera à la stricte application par les différents États européens de ces nouvelles lois et prévoira des sanctions financières lourdes en cas de non-respect de ces obligations.
D’autre part, la loi devra garantir une stricte répartition des députés dans les assemblées législatives en fonction de leur orientation sexuelle, le nombre de députés cisgenres ne devant jamais dépasser 10 %. C’est ainsi que la Commission de Bruxelles et les institutions européennes œuvrent au progrès du genre humain. ■ JEAN DE MAISTRE
Le 4 décembre 2024