Daddy, ne t’inquiète pas : la mission que tu m’as confiée il y a 13 ans avec ta lettre, je ne l’ai pas oubliée.
Je tâche depuis de relever cette mission. Je ne suis pas la seule. Tu as suscité, tout au long de ta vie, des centaines de milliers de vocations. Tu as permis, longtemps seul contre tous, que des millions de Français soient de nouveau fiers d’eux-mêmes et de leur pays. Merci pour tout cela.
Les opposants, les médiocres et les malhonnêtes te réduiront à un vil provocateur. Ceux qui t’ont côtoyé savent l’homme hors du commun que tu étais.
Tu fus un militant et un chef, un soldat et un homme lettré, un mineur de fond et un député, un tribun et un visionnaire. Un camarade insolent, bagarreur, séducteur, à l’humour grivois qui se plaisait toujours à entonner une chanson militaire ou paillarde. Tu aimais les gens, sincèrement, et les Français plus que tout. Tu as passé 60 ans à les éveiller, à les alerter, à maintenir coûte que coûte la petite flamme espérance allumée, maniant le verbe, la meilleure de tes armes, comme on manie le fleuret.
Sur ton lit de mort, le hasard a voulu que ton tee-shirt bleu soit recouvert par un drap blanc, lui-même enveloppé dans une couverture rouge. Oui, même dans cet ultime instant tu ne te seras pas départi des couleurs nationales que tu chérissais tant.
Aujourd’hui, le combattant que tu étais a passé l’arme à gauche. Je souhaite que tu puisses retrouver là-haut ta chère Jeanne d’Arc, la Sainte patronne que tu as choisie pour éclairer ton combat politique, tes vieux copains d’Indochine et d’Algérie, tes militants morts pour leur engagement au FN, ton père, le patron pêcheur qui t’a quitté alors que tu n’avais que 14 ans et t’a laissé pupille de la Nation.
Pars tranquille, je n’abandonnerai pas la mission.
Et puisqu’il faut te choisir une épitaphe, je prends ces quelques mots de Saint-Paul pour toi « j’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. » ■
Trēs bel épitaphe comme chacun souhaiterait avoir et honte aux tricoteuses et sans culotte qui ont manifesté leur haine et leur vulgarité dans des rèjouissacnces indignes. « Les chiens aboient, la caravane passe » , en espèrant que le combat de J’M Le Pen ne soit pas lettre morte.
Laissons le temps filtrer tous ses moments politiques.
Jean François Chiappe, monarchiste truculent, avait rejoint le Front national de Jean Marie L P, c’était tentant pour moi aussi, J M L P était il un « Cadoudal « des temps modernes?..
Mais le parti me semblait beaucoup trop éloigné de l’image du Comte de Paris. alors je suis resté avec Bertrand R.
( J F Chiappe: Cadoudal ou la liberté ed Perrin)
A Dieu Jean-Marie et merci pour votre combat !
Je fus un de vos très fidèles électeurs dès 1984…
Yann, Jean-Marie CORFMAT
Cette foule haineuse qui pardonne aux terroristes avec le : « Vous n’aurez pas ma haine » et crachent sur le cadavre encore chaud d’un patriote. Reposez en paix Monsieur Le Pen, la République jacobine non seulement ne vous mérite pas mais risque de déchanter dans l’avenir
Albane de Chenonceau
✓ Je rends un grand Hommage à Monsieur « Jean-Marie LE PEN », pour cet Homme très valeureux de politicien ;
§ Message d’un: _-Royaliste-Lozérien-_ [ Amen ].