« Jacques Sapir en économiste politique, maître du sujet. Il est sobre, mesuré et clair, ses vues sont larges mais serrées sur l’essentiel. Un essentiel qui, surprise, est simple à percevoir et oriente la réflexion ! Très loin du ravaudage déboussolé, au fumet Science Éco, des media et des politiques. » Marc Vergier
Présentation de la chaîne.
FRANC-PARLER, c’est l’émission sans langue de bois dans laquelle des personnalités du monde politique mais aussi des experts de leur domaine expriment leur sentiment sur l’état du pays et leur solution pour reprendre le contrôle dans l’intérêt des Français.
FRANC-PARLER accueille pour ce 11e numéro Jacques Sapir. Jacques SAPIR, né en 1954, est directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales. Après avoir commencé sa carrière comme professeur de lycée, il a enseigné l’économie à l’université de Paris-X Nanterre avant d’entrer à l’EHESS en 1990, où il est devenu directeur d’études. Il a aussi délivré des enseignements à l’École nationale de la statistique et de l’administration économique, à l’École normale supérieure de Cachan, ainsi qu’en Russie au Haut Collège d’économie, et aux États-Unis. Il est devenu spécialiste des problèmes de la Russie et de l’URSS après avoir enseigné la macroéconomie et l’économie monétaire. Ses travaux en économie se sont alors progressivement développés selon trois axes : l’économie soviétique et de la Russie post-soviétique, les dimensions macroéconomiques et financières du changement systémique et de la transition, les nouvelles perspectives de la théorie économique et de la méthodologie de l’économie comme science sociale. Ses travaux menés depuis les années 1980 ont donné naissance à de nombreux livres (dont plusieurs manuels universitaires en français et en russe) et ont valu à Jacques Sapir plusieurs prix scientifiques (prix Castex du livre stratégique en 1989, prix Turgot du livre en économie financière en 2001). Ses compétences l’ont amené à intervenir comme consultant pour des administrations françaises, des entreprises et des organisations internationales. ■
Merci à Marc Vergier pour sa transmission de ce remarquable document.