
« C’est à une remise en cause radicale de nos institutions et au renversement de l’oligarchie que les Français devront se livrer. »
La collusion de Bruxelles et du pays légal français pour interdire au peuple français, par voie judiciaire, de voter pour la candidate de la droite nationale à la prochaine élection présidentielle, n’est pas pour nous étonner, même si cette nouvelle atteinte à notre souveraineté nationale est une preuve supplémentaire du mépris de nos élites dénationalisées pour les citoyens français.
Toutefois, cette peine d’inéligibilité avec exécution immédiate dont est victime aujourd’hui Marine Le Pen risque de n’être qu’une victoire à la Pyrrhus pour l’oligarchie. Humiliante pour le peuple français, cette décision ne peut qu’ouvrir davantage encore les yeux de nos compatriotes sur la mise en coupe réglée de notre pays par une caste transnationale pour laquelle l’État de droit et la démocratie ne sont que des fétiches dépourvus de toute valeur, agités pour amuser le pays réel.
Or, celui-ci pourrait rapidement trouver que le jeu a assez duré, surtout si l’aggravation de la situation nationale aux plans de l’insécurité, de l’immigration et de la baisse du pouvoir d’achat devient insupportable.
Mais un réveil français ne devra pas se contenter de demi-mesures, provisoires et inefficaces. C’est à une remise en cause radicale de nos institutions et au renversement de l’oligarchie que les Français devront se livrer. Une élection présidentielle ne peut, par principe, que diviser le pays alors qu’il faut l’unir autour de la magistrature suprême de l’État. ■
L’Etat de droit est une fiction utile à l’Etat de gauche. La séparation des pouvoirs dont tous se gargarisent exige que le judiciaire ne s’arroge pas des droits exécutifs et d’ailleurs comme ,c’est le cas depuis les débuts de la Cinquième république, le législatif ne soit pas aux ordres de l’exécutif.
Une seule solution :
SAR le Prince Jean IV Comte de Paris Roi de France.