A Marseille, hier jeudi 18 mai, à 18 heures, une gerbe a été déposée, suivie d’une allocution, pour célébrer Jeanne d’Arc …
L’Action française Provence en a donné aussitôt après, le bref – et suffisant – compte-rendu ci-après – que les belles images en titre illustrent fort bien. LFAR
« Ce soir les militants de l’Action française Provence se sont rendus au pied de la statue de Jeanne d’Arc, dans le quartier des Réformés, afin de saluer la mémoire de celle qui demeure la figure de sainteté, d’espérance et de courage dans notre combat quotidien. Malgré les grossières intimidations de groupuscules antifascistes, un discours a pu être prononcé, une gerbe déposée et un hommage rendu.
Toi qui aimes la France, rejoins nous ! » •
Merci à l’AFProvence pour cet hommage à Jeanne d’Arc,une tradition qui je l’espère ce renouvellera dans l’avenir.
Pas des « groupuscules antifascistes » : des groupuscules « prétendus » antifascistes. Les fascistes, ce sont eux, ceux qui veulent interdire la liberté d’expression et ne faire régner qu’une loi, la leur; qu’un parti, le leur. Fascisme rouge du marxisme, fascisme vert de Daech, fascisme des origines terroristes de la République…
Il faut arrêter l’abus du terme « fascisme ». Ce n’est pas parce que de pauvres gens nous traitent de fascistes que nous devons leur répondre sur le même mode simplificateur.
Le fascisme est une singularité politique italienne historiquement datée et géographiquement délimitée. Sans réel analogue.
On ne gagne rien â brouiller le vocabulaire, les idées, les réalités. Sauf qu’on contribue à la confusion des esprits. « Mal nommer les choses … etc. »
Traiter de fasciste ou de fascisme tout ce qu’on réprouve est un simplisme pur, ne serait-ce que parce que le procédé est indéfiniment réversible !
Astreignons-nous plutôt à appeler les choses par leur nom et à les distinguer. Les parentés qu’il peut y avoir entre elles sont toujours partielles et de degrés très variable.