Nos impôts financent donc, ainsi, plusieurs centaines de milliers d’heures consacrées non pas à l’instruction scolaire, mais à l’activité syndicale de personnels du ministère de l’Éducation nationale : coût total, environ 82 millions d’euros par an…
Les bénéficiaires de la générosité de l’Etat avec nos impôts (c’est-à-dire ceux qui ont le plus de « permanents ») sont, dans l’ordre : la Fédération Syndicale Unitaire, l’UNSA, Force Ouvrière, CFDT, CGT et Sud Éducation.
Les classes surchargées ? L’intérêt des enfants ? La transmission du savoir ? Comme vous êtes vieux jeu avec vos vieilles lunes ! L’important, c’est : les privilèges des syndicats et des syndicalistes (de gauche évidemment)…
• Article 1 de l’Arrêté du 18 août 2016 (paru au Journal Officiel le 28 août 2016)