Par Rédaction
Nous lisons sur la page Facebook de Jean-Pierre Tardif cette simple note qui nous parait en soi, selon l’expression anglaise bien connue, self-explanatory :
» Le père de Léa Salamé , Ghassan Salamé ,est au conseil d’administration de l’Open Society Foundations (Georges soros). »
Cela nous confirme à quel monde « puissant » à quelle mouvance mondiale Léa Salamé appartient.
Ajoutons qu’elle est par ailleurs la compagne de « l’essayiste et homme politique (de gauche) Raphaël Glucksmann. C’est aujourd’hui comme hier, comme le pratiquaient en leur beau temps, les vieilles dynasties, par les mariages, les alliances matrimoniales, que l’on constitue aussi ou que l’on accroît sa puissance.
La différence est que les anciennes dynasties fondaient les nations européennes et édifiaient leur commune civilisation. La « puissance » de Léa Salamé ne va pas jusque là. ■
Son dernier livre… Promotion assurée par France Inter
Je n’avais pas cette information sur son père mais cela ne m’étonnes absolument pas. J’ai toujours été certains qu’elle n’était pas arrivée là ou elle est par hazard venant de nulle part comme tchoupi.
Cela rappelle la blague de Gozcinny, sur ceux qui ont réussi partant de rien : « j’ai travaillé dur, fait tous les métiers, apprenant à chaque revers, je suis parti de rien dans une vie difficile, et puis tout a changé le jour où papa m’a offert mon premier pétrolier ».