Le Comte de Paris : des nouvelles, des photos de la Famille de France, et un clin d’œil sur l’histoire européenne, elle aussi tragique, du siècle dernier

8 commentaires pour “Le Comte de Paris : des nouvelles, des photos de la Famille de France, et un clin d’œil sur l’histoire européenne, elle aussi tragique, du siècle dernier”

1. Mieux que des principes, nous avons des Princes », la citation je crois est de Vladimir Volkof…

   • Je le crois aussi. Peut-être un clin d’œil à Cassagnac (« Nous servons les principes avant les princes »).

   • @ Michel MICHEL
     Je me souviens que Boutang parlait souvent du binôme « le principe et le Prince ». Et je pense que pour lui c’était le Prince qui marchait devant, même si, parfois, il n’en donne pas l’impression.
     Je me demande d’ailleurs, s’il n’est pas légitime de penser que c’est le Prince qui fait le Principe. Ou la succession de Princes..
     Merci du rappel !

2. Merci Michel Michel. Puisqu’on voit Mayerling évoqué et le Prince Jean avec sa famille se recueillir sur le destin tragique de Rodolphe et ainsi tenter de conjurer « nos démons ». . Il existe deux films qui font revivre cette époque : ( Pour Pierre Builly)
   .Je songe d’abord au fabuleux film de Max Ophüls  » de Mayerling à Sarajevo »- – – un hommage vibrant et émouvant à l’Autriche à travers ses épisodes douloureux. Si le drame de Mayerling reste mystérieux avec sa zone d’ombre, et le rôle bien suspect, de celui qui précipité ensuite la chute de l’ Autriche-Hongrie, en revanche nous connaissons très clairement les auteurs des attentats suivants : Celui qui a assassiné Sissi, la mère de Rodolphe, signe prémonitoire. Surtout nous connaissons parfaitement ceux qui ont organisé l’attentat de Sarajevo de 1914 et l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand. Cet acte a comme un tonneau de poudre mis le feu à toute l ’Europe .C’est magnifiquement raconté de manière onirique dans un film peu connu de Fellini « et vogue le navire « qui illustre bien l’affrontement entre les pulsions de mort des terroristes et les passagers du navire attachés à l’art lyrique, à la vie tout simplement. .

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3. Cher Henri, quand te décideras-tu à écrire Ophuls et non Ophüls ? Cela étant, le film que tu cites est, à mes yeux, extrêmement médiocre ; c’est un film de commande que le grand Max « ne sentait pas » et qu’il a tourné à la va-vite. Il n’y a qu’un moment grave : quand l’Archiduchesse Marie-Thérèse (Gabrielle Dorziat) dit à son beau-fils François-Ferdinand que « Les Rois ne sont pas faits pour être heureux : ils sont faits pour régner ».
   Il y a (au moins) trois autres films sur cette tragédie ridicule, digne de « Gala » et dde « Voici » : celui d’Anatole Litvak en 1936, celui de Jean Delannoy en 1949, celui de Terence Young en 1968. De quoi faire pleurer dans les chaumières.

   Je te rejoins parfaitement sur le film de Fellini «  »E la nave va » » (Et vogue le navire..) ; moi qui ne suis pas fellinien pour un sou, je lui trouve bien des qualités. Dont celles que tu dis.

4. Cher Pierre; Ophul ou Ophüls cette histoire, ( bâclée, dis-tu ) tournée à l’aube de la secodne geuure mondiale nous concerne, ,la répétition dela catastrophe. Dans mon souvenir ancien, il y avait dans cee film des bandes d’acualités de l’époque, mais je peux me tromper. Quant « vogue le navire, son acualité me parait criante.

5. corrigé !
   Cher Pierre; Ophul ou Ophüls cette histoire, ( bâclée, dis-tu ) tournée à l’aube de la seconde guerre mondiale nous concerne, la répétition de la catastrophe. Dans mon souvenir ancien il y avait dans cee film des bandes d’actualités de l’époque, mais je peux me tromper. Quant à « Vogue le navire, son actualité me parait criante.

6. A propos de Mayerling, l’impératrice Zita a donné l’explication : l’archiduc Rodolphe était au courant d’un attentat visant son père, et il a été « éliminé »…