Par Aristide Renou.
Rédigé hier matin….
France-Intox ce matin. Petit reportage sur les élections américaines, la probable victoire des Républicains et l’annonce attendue de la candidature de Trump aux prochaines présidentielles. Puis une brève sur la victoire de Caroline Garcia au Masters WTA (c’est du tennis) qui avait lieu à Fort Worth, Texas.
Commentaire du journaliste : « Eh bien ça fera au moins une bonne nouvelle en provenance des Etats-Unis. »
Le journaliste français, ce parangon d’objectivité, ce vaillant pourfendeur de fake news, cet admirable défenseur de l’éthique de sa profession : les faits coco, rien que les faits !
Et comme ils vivent à l’intérieur d’une bulle de confirmation totale, ils ne se rendent même pas compte de l’énormité de leurs propos.
Ce commentaire fait en toute bonne conscience me rappelle cette universitaire américaine qui s’était exclamée lors de la victoire de Trump : « Mais il ne peut pas avoir gagné, je ne connais personne qui a voté pour lui ! » ■
Précédemment paru sur la riche page Facebook de l’auteur (8 novembre).
La « Pravda » en URSS ne faisait pas mieux.
Ces gens dont vous parlez ne peuvent être appelé journaliste. Non, ils n’en sont pas dignes. Se seraient plutot des propagandistes du socialo communisme. En clair, des commissaires politiques comme au temps du bolchevisme. Ceux qui vivent dans le mensonge perpetuel, le déni de réalité, défendant l’indefendable, propageant l’aversion des valeurs, se faisant complisse d’atteinte à autruit envers la population, manipulation mentale comme lors du covid. Dans les ecoles du journalisme, 90 % d’entre eux avaient voté pour Hollande en 2012. Je pense que c’est suffisament parlant.