On nous demande -sur maisaquilafaute– pourquoi nous sommes « contre le métissage ». Résumons-nous donc.
Et commençons par dire qu’il n’y a pas lieu, ni pour nous ni pour personne, d’être « pour » ou « contre » le métissage. Chaque personne, sur terre, vit comme elle l’entend et gère selon sa conscience sa vie privée et ses choix de vie personnels. La question ne nous semble donc pas correctement posée. Nul n’a à être « pour » ou « contre » le choix strictement personnel d’une personne qui veut vivre avec quelqu’un qui a ou qui n’a pas la même couleur de peau.
Cette sorte de préambule une fois posé, passons à l’essentiel.
1) Nous constatons aujourd’hui que la population dans son ensemble, et la jeunesse en particulier, est manipulée. Il y a une mode, artificiellement créée et entretenue par manipulation idéologique, qui vise à bourrer le crâne des gens, en leur inoculant quotidiennement (et cela va de l’explicite au subliminal…) l’idée selon laquelle le fin du fin, c’est le métissage et que, de toutes façons, le métissage est l’avenir de l’Humanité. Nous mettons donc en garde, car, une fois l’effet de mode passée, qui peut dire que celles et ceux qui auront/qui auraient engagé leur vie, non sur leur libre choix personnel mais parce qu’ « on » leur aura fait prendre le chemin qu’ « on » avait décidé pour eux, ne risquent pas de le regretter ?
2) Ils risquent de le regretter, eux ou leurs enfants. Car il est inutile de se voiler la face. Il n’est pas toujours facile d’être métis. S’il y a bien évidemment des métis heureux, on a aussi des tas d’exemples de personnes prises entre deux cultures, souffrant de ne pas trop savoir qui elles sont, et finalement rejetées ou non intégrées des deux côtés. Nous disons simplement qu’il faut y penser « avant », c’est tout. Et cela nous ramène à notre point numéro un : que chacun choisisse librement sa vie, et pas le schéma qui lui a été imposé par des idéologues, et pour obéir, fût-ce inconsciemment, à une mode ou à une manipulation.
3) Rappelons à notre lecteur (ou lectrice) que notre position vient aussi du fait que nous sommes, mais positivement, « pour » la diversité. La diversité France enrichit le monde, et il serait dommage qu’elle s’efface et disparaisse, ce qui est le but non avoué en public mais bien réel que se proposent ceux qui en coulisse tirent les ficelles de cette extraordinaire et inédite entreprise de dynamitage par dilution de nos vieilles nations historiques européennes (le phénomène n’étant pas spécifiquement français, bien évidemment, mais touchant l’ensemble des peuples blancs européens…)
4) Il nous paraît beaucoup plus sage de laisser les choses évoluer normalement, loin de toute idéologie et d’arrière-pensées politiques révolutionnaires et trotskistes. Regardez l’exemple du Brésil. Si le métissage a réussi, là-bas, c’est parce qu’il s’est agi d’un phénomène naturel, librement souhaité et vécu par une population non conditionnée. Encore faut-il remarquer qu’on commet souvent une erreur d’appréciation concernant le Brésil. Si une part importante de la population y est effectivement métissée (disons, en gros, la moitié), une autre partie ne l’est pas, et cette partie n’est pas négligeable en quantité, puisqu’elle constitue l’autre moitié du pays : blancs, noirs, indiens autochtones…
5) Enfin ne trouvez vous pas bizarre –et n’est-ce pas une preuve de la manipulation que nous dénonçons ?…- qu’ on » ne cherche absolument pas à faire une Chine blanche ou noire, un Mali blanc ou jaune, une Arabie islamo- catholique. Non, « on » cherche juste à faire de la France -et, à un degré différent, des autres pays européens- un pays métis. On laisse tranquilles toutes les cultures du monde et tous les pays du monde, noirs, jaunes, musulmans. Il n’y a que la France qui est sommée de se métisser, et qui est travaillée à ce point par le culte de leur « diversité » bidon.
Bidon, car il s’agit en fait –ce serait savoureux si ce n’était tragique….- de la disparition d’une des diversités du monde, la nôtre, la Française.
Cela ne vous paraît-il pas louche ?….
Pierre Builly sur Quand, il y a 155 ans,…
“J’ai lu quatre fois « L’Éducation sentimentale » sans jamais en retenir quoi que ce soit ; c’est…”