Par Radu Portocala.
Ces derniers jours, a eu lieu au Japon la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7. Simple étalage de bons sentiments et de vœux pieux.
Le secrétaire d’État américain a profité de l’occasion pour plaider contre les armes nucléaires et a eu le mauvais goût – étant donné le pays qu’il représente et le pays où se tenait la réunion – d’évoquer les morts qu’ont faits les bombes nucléaires lancées en 1945 sur Hiroshima et Nagasaki et les infinies souffrances produites par ces bombardements.
On peut imaginer que, par cet indécent manque de tact, le chef de la diplomatie américaine a voulu montrer la compassion de son pays envers ses propres victimes. ■
Court billet paru hier sur la page FB de son auteur.
Ouvrages notamment publiés :
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Autopsie du coup d’État roumain, Calman-Lévy,1990
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L’exécution des Ceausescu, Paris, Larousse, 2009
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Le vague tonitruant, Paris, Kryos, 2018
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La chute de Ceausescu, Paris, Kryos, 2019