Pour quelques détails sur Turenne se reporter à l’éphéméride du jour.
Il est né le 11 septembre 1612.
Quiconque a vécu un temps long ou court d’engagement à l’Action Française connaît cette musique superbe et ce chant par cœur. Il évoque des souvenirs communs de toute sorte : banquets, camps, séminaires, veillées de Montmajour et des Baux de Provence pour ceux qui les ont vécues pour de vrai…
Mais nous ne sommes pas les seuls, loin de là, nous les royalistes d’Action Française, à avoir repris ces Dragons de Noailles en maintes circonstances. Nos militaires l’ont chanté sous toutes les latitudes. Et tant d’autres Français simplement patriotes.
C’est un chant de victoire, joyeux mais aussi grave, vigoureux, majestueux et solennel. Comme tout ce qui touche à la guerre. Il ne se chante pas avec des cris interjetés, des interruptions, des poings ou tout autre chose tapés sur la table des banquets. Il se chante dans le respect, l’admiration, la joie, de perpétuer dignement la tradition immémoriale du service de la France par les armes.