Au 1° juin, il y avait 60.870 détenus dans les prisons françaises, pour 50.600 places; et, selon un document de travail ministériel, on se dirigerait allègrement vers 80.000 détenus en 2017! Bien qu’il soit formellement interdit par la république (et pourquoi? de quel droit?) de donner des chiffres sur l’origine des détenus, on sait parfaitement qu’une part très importante de la population carcérale -cette part étant même majoritaire dans de nombreuses prisons- vient de l’immigration récente. Nous avons exposé (1) notre sentiment sur une immigration imposée à la France, qui n’en avait et n’en a toujours pas besoin; nous avons aussi exposé notre point de vue sur ces « français de plastique » qu’on nous a imposé, et qui ne sont « français » pour beaucoup que parcequ’ils ont en poche le petit rectangle en plastique de la Carte d’Identité; nous avons enfin exposé ce que nous appelons « la règles des trois tiers », pour sortir la France de la situation dans laquelle la république l’a très imprudemment plongée. Nous proposons donc:
1°) de déchoir d’une nationalité française attribuée trop généreusement (et sans que le peuple français ait jamais été amené à donner son accord…) tout immigré de fraîche date qui commet un délit: il fait la preuve, quelques mois à peine après la « confiance » qu’on lui a accordé, en notre nom mais sans notre accord, qu’il n’était pas digne de cette confiance….
2°) de bannir à perpétuité du territoire national celui ou celle qui aura été déchu(e). En tant que contribuables, nous ne souhaitons pas, en effet, qu’une partie de nos impôts serve à loger et nourrir (d’une façon indigne d’ailleurs, et qui fait honte à notre pays…) des délinquants à qui nous n’avons jamais demandé de venir chez nous. Continuer comme cela à emprisonner un nombre toujours plus grand de ces « nouveaux venus » ne nous parait ni raisonnable, ni souhaitable, ni même possible…; et un jour des pays musulmans fanatiques, ou des organisations musulmanes fanatiques (il ne manque, sur terre, ni des uns ni des autres…) prendront peut-être prétexte de cette situation pour exiger de la France qu’elle libère leurs « frères » sous peine de représailles…..
(1) voir les catégories « Conférences » et « Immigration et désintégration nationale ».
Bien sûr qu’il y a des français de souche qui sont pervers, criminels, indignes. Ceux-là n’ont même pas l’excuse d’être déplacés hors de leur culture, alors que les immigrés délinquants auraient peut-être été de bons et honnêtes sujets de leur pays, s’ils y étaient demeurés. Les renvoyer chez eux n’est donc pas une punition, mais la suppression de la cause véritable de leur délinquance. Cette constatation devrait suffire à vous montrer que ce ne sont pas les immigrés qui sont fautifs, mais l’immigration et l’idéologie de l’indifférenciation…dont vous êtes visiblement un partisan.