C’est un entretien poignant et particulièrement intéressant avec Boualem Sansal qu’Alexandre Devecchio a publié dans Le Figaro du 14 octobre. Boualem Sansal ne cesse d’alerter les peuples occidentaux et principalement la France sur le danger islamiste et la faiblesse de leur riposte. Ils auront été dûment avertis par quelques grandes voix, dont celle de Boualem Sansal, qui rejoignent, d’ailleurs, tout simplement le sentiment populaire. Ici, la trahison des « élites » est patente. Elle est clairement désignée comme telle aujourd’hui par un nombre grandissant de Français.
GRAND ENTRETIEN – Le grand écrivain algérien répondait aux questions du Figaro sur Israël au moment même où un professeur a été poignardé mortellement au lycée Gambetta d’Arras. Un nouvel assassinat au couteau, qui rappelle celui de Samuel Paty.
« Ces massacres, hélas, risquent d’exercer une fascination macabre chez de jeunes islamistes français »
LE FIGARO – Une attaque au couteau a été commise ce vendredi matin au lycée Gambetta d’Arras. Un assaillant armé d’un couteau a fait irruption dans l’établissement. Au cri d’« Allah akbar », il a poignardé à mort un professeur dans des circonstances non déterminées. Plusieurs autres victimes seraient blessées… L’assaillant est tchétchène et l’attaque survient trois ans après l’assassinat de Samuel Paty. Faut-il cependant faire le lien entre ces événements et ceux qui se déroulent en Israël ?
Boualem SANSAL. – Nous le savons, les islamistes sont très interconnectés et très soucieux de concertation et de coordination entre eux afin de s’entraider et d’optimiser l’effet de leurs actions. Les groupes islamistes sont indépendants mais ils tiennent compte à leur manière des éléments de langage émis par les influenceurs islamistes, les autorités religieuses, les gouvernements musulmans et les organisations islamistes influentes (les Frères musulmans, al-Qaida, Aqmi…).
Ces dernières années, ils sont très inquiets, ils constatent sur le terrain que la politique de normalisation des relations politiques entre Israël et plusieurs États arabes, sous l’égide des Américains, a considérablement réduit leur influence sur les gouvernements et les populations musulmanes et tari plusieurs sources traditionnelles de financement direct et indirect (saoudiennes, qatariennes, koweïtiennes, turques, algériennes, égyptiennes…). Cette normalisation a eu pour effet de rassurer les Occidentaux et peut-être les a-t-elle amenés à relâcher leur vigilance, et de fragiliser les islamistes, ce qui les a amenés à resserrer les rangs et à se radicaliser. L’attaque du Hamas est selon moi le début d’une vague d’attentats qui frappera Israël et les pays arabes qui l’ont reconnu (Égypte, Jordanie), ceux qui ont signé les accords d’Abraham (Maroc, Bahreïn, Émirats arabes unis, Soudan), ceux qui envisagent de le faire (Arabie, Libye). Elle frappera fortement les pays occidentaux, en particulier la France, pour la chasser définitivement du Maghreb et du Sahel, voire de toute l’Afrique et former un Daech dans et autour du Sahara.
L’Algérie dénonce les accords d’Abraham, soutient et finance le Hamas, a raffermi ses relations avec l’Iran, mais reste une cible pour les islamistes, qui ne lui pardonneront jamais d’avoir volé la victoire des islamistes aux élections législatives de 1991 et exterminé les meilleurs d’entre eux.
Immédiatement après l’attaque du Hamas, le ministre de l’Intérieur français a décidé de protéger les synagogues et les écoles juives. Qu’est-ce que cela révèle ?
Tous les problèmes de la périphérie ont des répercussions immédiates sur le centre, parfois faibles, parfois amplifiées, parce que d’une manière ou d’une autre le centre est à l’origine de ces problèmes.
Plus globalement, l’Occident, notamment l’Europe, est la zone de convergence de tous les problèmes du monde : l’islamisme, l’émigration clandestine, les grands trafics, les pandémies, le wokisme, les manœuvres de la Chine et de la Russie… Le rapport des forces lui est encore favorable, mais l’histoire s’accélérant, l’inversion est proche : l’Occident va être détrôné et les ex-colonisés prendre leur revanche et le coloniser avec tout le raffinement possible.
Sommes-nous plus que jamais dans un conflit global ?
L’islam est une religion prosélyte, son but est de régner sur le monde. Il est globalisé depuis l’origine. Il a conquis d’immenses territoires dans le monde, tantôt de manière pacifique, par la prédication et son action en faveur des pauvres, tantôt de manière violente lorsqu’il a rencontré des résistances sur son chemin. En Europe il a été arrêté dans sa progression par deux fois, à Poitiers en 732 et à Vienne en 1529 et chassé une fois d’une terre conquise par lui, l’Espagne en 1492. Ailleurs, il règne sans partage ou selon des modus vivendi plus ou moins stables avec les autres religions présentes sur le territoire.
Après l’avoir accueilli et aidé à s’installer par l’émigration légale à caractère économique, par le regroupement familial et par l’intégration, les Européens rejettent aujourd’hui massivement l’islamisme et veulent bouter ses militants hors d’Europe, chose impossible qui peut mener aux pires extrémités. Le refus de délivrer les laissez-passer consulaires tient à cela, car les OQTF sont perçus par Alger comme une façon déguisée de chasser les musulmans de France.
À moins d’une réforme de l’islam faite par les musulmans eux-mêmes, allant dans le sens de la démocratie et de la laïcité, on ne voit pas d’où viendrait le salut. Les musulmans sont-ils prêts à cette réforme ? Oui, peut-être, s’il n’y avait les islamistes pour l’empêcher.
L’urgent est la vigilance pour empêcher l’escalade de la violence.Ce qui vient de se passer en Israël est la conséquence d’une baisse grave de la vigilance et du renseignement et de la population. Le Hamas l’avait noté et a choisi le bon moment pour agir.
Le conflit israélo-palestinien est-il un conflit territorial ou s’inscrit-il dans le cadre d’un plus vaste conflit de civilisation ?
Ne nous trompons pas encore de diagnostic et utilisons la bonne terminologie : une opération qui a mobilisé tant de moyens humains, matériels et financiers, qui a demandé des mois d’entraînement et de préparation, impliqué un État étranger, l’Iran, possiblement un deuxième le Qatar, ainsi que le parti-État libanais, le Hezbollah, qui a envahi et frappé une large partie du territoire israélien, n’est pas un acte terroriste, dont le but est de terroriser, mais un acte de guerre totale dont le but est de détruire, un épisode de cette guerre sainte qui se poursuit depuis l’avènement de l’islam, sur tous les plans et tous les fronts, qui ici œuvre à la destruction des Juifs et d’Israël, là en plusieurs endroits du Moyen-Orient à la destruction des chrétiens, et ailleurs à l’extermination des athées, des apostats, des mécréants, des corrompus.
« Conflit de civilisations » n’est pas davantage la bonne terminologie. Pour les islamistes, il n’y a de civilisation qu’islamique, tout le reste n’est que Djahilia, le monde noir du péché, de l’ignorance et de la barbarie qu’il faut, par ordre d’Allah, convertir, soumettre ou détruire. Cette guerre sainte ne cessera qu’à la victoire totale d’Allah sur terre. Voilà à quoi nous avons à faire, voilà ce qui tourne dans la tête des islamistes.
La lutte contre le terrorisme et la guerre sont l’affaire de nos gouvernements, mais la guerre à la guerre sainte, qui s’en occupe, les politiques, les religieux, les philosophes ? En fait, personne. Sur ce terrain, l’islamisme ne rencontre aucune résistance. Au contraire, les idiots utiles et les opportunistes accourent de tous côtés pour se trahir et le servir. En France, on trouve de grands noms dans la liste des renégats, des hommes politiques, des universitaires, des artistes, de toutes origines, toutes confessions. Mais les idiots et les opportunistes seront tués comme les autres à la fin de leur service. L’ingratitude est la première qualité des islamistes, ils ne s’embarrassent d’aucune morale. En son temps, Raymond Aron avait dit en pensant sans doute à ces gens : « L’ignorance et la bêtise sont des facteurs considérables de l’Histoire ». Nous y sommes en plein.
À travers l’attaque contre Israël, était-ce l’Occident tout entier qui était attaqué ?
Oui, mais pas seulement, l’islamisme vise le monde entier, il a frappé le monde arabe, le monde musulman, l’Afrique, l’Asie. C’est dans sa démarche, il n’use de la violence que lorsque la manière douce, la prédication, l’action sociale et politique, la corruption, l’entrisme et la taqiya rencontrent des résistances fortes. La violence n’est plus tellement nécessaire en France, en Europe, en Occident, ils sont mûrs pour la suite, ils sont acquis à la cause et œuvrent eux-mêmes à leur chute. C’est du pur Gribouille, ils pensaient qu’en avalant un peu d’islam tous les matins ils seraient plus intelligents pour comprendre l’islamisme et plus forts pour résister indéfiniment à ses assauts.
La barbarie des massacres de Kfar Aza et Beeri a été qualifiée d’inédite. Est-ce vraiment le cas ?
Inédite pour les Israéliens, sûrement. Mais malheureusement déjà éprouvé ailleurs. C’était le quotidien chez Daech, et avant en Algérie. En France, le Bataclan a été un sommet dans l’horreur, le 11 Septembre a sidéré le monde.
L’opération peut-elle être qualifiée de djihad ?
Il y a un désir d’émulation très fort chez les jeunes islamistes, toujours pressés d’entrer dans le Panthéon, c’est à qui ira le plus loin dans l’art de la guerre, dans l’inventivité, la stratégie, le sacrifice. L’empressement en religion est une deuxième foi, dit-on, ça donne des bons points pour l’au-delà. Les héros, les martyrs, les beaux parleurs et les grands mécènes seront bien placés auprès d’Allah. Ces massacres, hélas, risquent d’exercer une fascination macabre chez de jeunes islamistes français.
Y a-t-il une différence aujourd’hui entre le Hamas et Daech ?
À sa création, Daech s’est mis dans l’esprit de la victoire absolue, dans la pure vision messianique et apocalyptique de l’islam salafiste. Dieu joue et gagne. Daech a immédiatement adopté les règles de la guerre sainte : la rapidité, la razzia, l’extermination sans limite. Faute de moyens et d’espace, le Hamas fait dans la politique et la stratégie, qui ne sont que l’art du possible. Là, il a fait le maximum et sait bien qu’il ne pourra pas faire plus la prochaine fois… Il faut aussi voir que les Palestiniens n’ont jamais su s’affirmer et décider seuls de leur démarche. Ils n’ont jamais été que le bras armé des Arabes et de leur Ligue, ou des Iraniens.
Mais Gaza ne se réduit pas au Hamas. Les Gazaouis qui n’émargent pas au djihad ont un sérieux problème de vie, de survie d’abord, ils ont besoin d’espace, d’air, de liberté, de voyages, de loisirs. Ils doivent pour cela se libérer de l’emprise du Hamas et des fous d’Allah d’où qu’ils viennent, mais ils n’osent pas, on leur a appris que le Hamas était le bras vivant d’Allah. Aidons-les à comprendre que rejeter le Hamas n’est pas trahir Allah, bien au contraire, c’est l’aimer dans la paix et la tranquillité universelles. Je dis à nos amis israéliens que combattre le Hamas avec du plomb durci ne fera que le renforcer, il a déjà la dureté du diamant. Pour l’éradiquer il faut aider les Gazaouis à se libérer de son emprise. Sur ce chemin, ils trouveront de vrais amis dans le monde entier, à commencer par Israël. Il faudrait peut-être aussi commencer à aider les Israéliens à se libérer des ultra-fondamentalistes qui détruisent ce qu’Israël a de plus précieux : la démocratie.
Cela vous rappelle-t-il la guerre d’Algérie et la décennie noire dans les années 1990 ?
Absolument. Le FIS et ses phalanges de la mort étaient dans la vision daechienne de la guerre sainte. Allah joue et gagne parce qu’Allah est le plus grand (et non pas « Allah est grand », comme on traduit fautivement « Allah akbar »). Le génie des généraux algériens et notamment celui qu’ils nommaient « le Cerveau » (el mokh, en arabe) est de l’avoir petit à petit éloigné du calendrier religieux et tiré vers la politique, vers la négociation, le calendrier électoral, et en se faisant plus salafistes qu’eux, ce qui a détourné beaucoup de jeunes candidats kamikazes vers d’autres partis islamistes (en Algérie, en Syrie), quand ils ont compris que le FIS s’était laissé prendre aux chants des sirènes des généraux qui lui proposaient soit une victoire à la Pyrrhus soit une victoire dans le partage du pouvoir et de la rente pétrolière. Dont acte à travers la loi dite de réconciliation nationale qui disait aux uns : « Oublions nos malheurs et enrichissons-nous ensemble » et aux autres : « Allez faire le djihad ailleurs, en France où les frères ont tant besoin de vous ». Je ne sais pas si, en France, on a noté la coïncidence, la violence islamiste a décuplé dans l’Hexagone au moment où la réconciliation pouvoir-islamistes est entrée en vigueur en Algérie. Le front a changé de camp du jour au lendemain. ■
Boualem Sansal publie un dernier ouvrage, « Lettre d’amitié, de respect et de mise en garde aux peuples et aux nations de la terre », chez Gallimard, 112 p., 12€.
À lire aussi dans JSF, de Péroncel-Hugoz…
La terrifiante minute de vérité islamique de BOUALEM SANSAL
L’inouï «amalgame» entre Israël et Occident, qui se met chaque jour plus à découvert, devrait rendre pour le moins perplexe toute personne un tant soit peu avertie d’Histoire… En effet, si l’on veut envisager de rattacher le pays d’Israël à l’Occident, ce ne saurait être au titre de la géographie ; c’est donc à celui du peuplement… Or, si ce peuplement est tenu pour «occidental», c’est qu’il n’est pas composé de sémites, qu’il ne relève pas du peuple hébreux ; or, c’est au peuple hébreux que l’on a conçu de ménager une terre en Palestine, tandis que les adversaires d’Israël sont tenus pour des anti-«sémites»… Cela pourrait encore signifier que les Occidentaux tellement à cheval sur la laïcité seraient «en même temps» capables de soutenir mordicus un État dont les fondements seraient religieux et la tradition proprement «occidentale»… Bref, voilà ,un tsunami de paradoxes en perspective, comme réplique au séisme gazaoui-arassin…
Plutôt d’accord avec le commentaire de David Gattegno.
N’attribuons pas à Israël une nature qui n’est pas fondamentalement la sienne.
Il en a sans-doute d’autres et à suffisance.
»Israël est notre amie et notre alliée » 8. C’est ce que nous, l’AF, beuglions en 167, lors de la guerre de 6 jours. Comment penser que notre cher »peuple élu » peut avoir tort devant les horreurs musulmanes ?
Israêl vaincra !
Les massacres sont toujours les mêmes quels que soient les bourreaux et quelles que soient les victimes . Comment pourrait on « hiérarchiser » ? A ce compte là, il faudrait trouver des justifications ideologiques à ceux de la Saint -Barthelemie , à ceux des guerres de. Vendée.
Peut-être que tu beuglais cela en 1967 mais tu n’étais pas le seul membre de l’AF. Et à Aix-en Provence, nous n’avions absolument pas cette position. De toute façon, je voudrais bien savoir ce tu mets sous ce terme de peuple élu. Lui accordes-tu le statut de peuple régnant: « Vous serez pour Moi une dynastie de pontifes et une nation sainte. (Exode 19.5.6) ou bien estimes-tu comme les hassidiques et les Kabbalistes que les âmes juives, à la différence des autres hommes, ont été prédestinées pour la gloire avant la Création, ce qui revient à affirmer une différence spécielle entre les Juifs et les hommes. J’aimerais bien savoir ce que tu penses de ton propre statut de goy et sa dignité, et aussi le la théologie catholique que tu dois connaître en tant que catéchiste, qui affirme que le peuple chrétien est le « verus israël ». Ou alors vas-tu nous dire qu’une fois de plus tu as parlé trop vite?
«Politiquement» parlant, Antiquus a parfaitement raison de contester le regard individuel que les uns ou les autres peuvent porter sur les événements. Et, dans cette occurrence, il se trouve que, personnellement, je partage assez entièrement sa manière de récriminer.
Seulement, il y a lieu de ne pas se laisser aller à la confusion qui est justement celle du «sionisme», à savoir que les «élections» spirituelles (i.e. la NOBLESSE raciale) se traduisent humainement, sauf que cela nécessite la permanence de cadres strictement harmonieux. Lorsque la grande Harmonie est décadente, on ne peut plus accordée à la «Race» spirituelle une valeur déclinable en humanité, cette notion chutant vertigineusement de l’ontologie à l’idéologie… Je vais essayer ’expliciter, aussi brièvement que possible :
Tous les peuples se sont toujours désignés comme «les humains» exclusifs : «tout humains» (Alamans) ; les «authentiques», les «libres» (Francs) ; «nobles hommes» (Arabes), voire, tout simplement «les Hommes», un point c’est tout.
Dans les quelques cas où ces «Hommes» se sont intéressés au fait que tels voisins ne seraient pas dignes de ce statut, alors, il y avait lieu de les acquérir, de les «convertir», à l’Humanité dont il n’avait pas la jouissance ; cela est explicite dans les conquêtes des Incas et, pour peu que l’on y pense selon cette perspective, relativement transparent pour la Chrétienté et l’Islâm.
Il s’ensuit que le peuple Hébreux se considérait «élu», exactement au même titre que chaque peuple savait l’être.
Lors de l’Âge des Conflits (aux alentours de -3500), les différents peuples vont arriver à ne plus comprendre ce qu’ils sont exactement – «babélisation», en somme – ; ils se prennent à DÉGÉNÉRER, stricto sensu.
À partir de là, la décadence ne peut que s’accomplir au rythme qui est le sien.
Intellectuellement, il revient à chacun de nous, à chacune des «communautés», de trouver les ressources pour s’AFFRANCHIR des éléments de décomposition susceptibles de nous atteindre. C’est l’entreprise de REDRESSEMENT à laquelle les «vrais humains» sont commis, individuellement et collectivement, quoi qu’ils en eussent.
Cependant : «Tu es commis à agir, mais non à jouir du fruit de ton acte», dit la Bhagavad-Gîta, ajoutant : «N’aies pas d’attirance pour l’Agir, n’aies pas d’attirance, non plus, pour le Non-Agir.» Je sens que cela va donner du fil à retordre à certains cauchemars matérialistes – tordez le fer pendant qu’il est échaudé et ne craignez que l’eau froide !
On ne peut reprocher au peuple d’Israël de se considérer «Élu», car c’est la seule nature intellectuelle qui vaille pour un peuple. Seulement, la question posée l’est par le fait qu’il ne s’agit proprement plus d’Hébreux réels : nombre de nos races sont abâtardies, «métissées», au point de n’être plus réellement RACÉES, et, pour ce qui nous occupe, les Israéliens en premiers… Pourquoi «en premiers», mais parce que la politique occidentalo-mondialisante entend en faire les seuls au monde à bénéficier de cette économie qui n’a plus cours pour personne…
Plût au Ciel que je n’aie pas trop «vulgarisé»…
@ Antiquus : Je n’ai jamais eu de goût ni de l’intérêt pour les idées ; de ce que je sais, c’est qu’Israël est le peuple élu, choisi par Dieu pour nous montrer le chemin. Surtout, bien sûr quand enfin il se convertira.
D’ailleurs on voit bien qu’il a plus de qualités intellectuelles que le reste du monde.