Salon de l’agriculture : toutes les apparences en effet du désastre et du dévoiement de la fonction présidentielle… Quel échec pour la Ve République !
Repris des réseaux sociaux (François Grenier) où depuis hier ce genre de réactions se multiplient.
Inutile, n’est-ce pas ? de raconter ce qui s’est passé. Tous, ou presque tous, nous l’avons vu, nous y avons assisté en direct avec une certaine tristesse et avec colère. Il n’est pas drôle ni bon de voir la France dépourvue d’un Chef et d’un État dignes de ce nom. Il est triste de la voir ridicule, de la savoir dirigée par un homme immature, gesticulant et bonimentant. De voir ses intérêts obstinément trahis, ses paysans, comme tout le reste, en réalité sacrifiés à l’idéologie euromondialiste de nos soi-disant élites, et bien sûr à des intérêts étrangers.
Le Pays Réel saura-t-il se doter d’une Autorité, d’un Pouvoir politique qui lui permette de retrouver la maîtrise de son destin ? C’est évidemment, en dépit des difficultés de la tâche, ce qu’il faut souhaiter à la France et à quoi il faut œuvrer.
Cet histrion a ressorti sa gestapo républicaine, genre brigades infernales qu’ils envoyaient massacrer les Vendéens et les Bretons dans les année 1790. Ils changeront pas, c’est leurs ADN.
Je fais parti de ceux qui ont osé jeter un coup d’œil (et d’oreille) sur la chiffe-dure en exercice porte de Versailles… Je n’avais encore jamais rien perçu d’aussi infect ni d’aussi ridicule – sauf un certain discours électoral de 2017, à la fin duquel la même engeance avait donner de grotesques coups d’gosier…
«Il perd ses nerfs», ai-je entendu plusieurs fois commenté. Mais non, pas du tout : il n’a plus rien à perdre, alors, il s’énerve et infantilise davantage son immaturité. C’est un vilain capricieux qui s’effarouche à l’idée que son profitable jouet ne lui soit subtilisé demain ou après-demain.
Il est tellement odieux, tant épidermiquement allergène, qu’il ne mérite rien, sinon une bonne paire d’antihistaminiques dans la gueule». Il avait déjà reçu une calotte de la part d’un excellent garçon ; maintenant, il faudrait fustiger plus violemment, afin de lui mieux instiller dans la courbure qu’il pourrait lui arriver de ne plus disposer de son insane impunité présidentielle.
Il aurait mieux valu que nos excellents agriculteurs se fussent contenter de lui tourner le dos, de l’ignorer. La flicaille n’en aurait pu mais, ses gorilles demeurés devenaient superflus et lui, dernier agité du bocal aurait pu gober à loisir ses mouches préférées.
Que Belzébuth, seigneur des mouches, l’emporte.
Dire qu’on a l’inconscience, ou l’outrecuidance de reprocher à Vladimir Poutine, d’être à la tête d’un État policier !