« Ces années merveilleuses où c’était Molière qui jouait à la fois Corneille et Racine et Molière, elles nous semblent l’image la plus haute que nous puissions former en France du théâtre. »

2 commentaires pour “« Ces années merveilleuses où c’était Molière qui jouait à la fois Corneille et Racine et Molière, elles nous semblent l’image la plus haute que nous puissions former en France du théâtre. »”

1. Il eût été mieux venu d’illustrer ce petit commentaire avec la dernière réédition du «Corneille» de Robert Brasillach, publiée par l’Association des Amis de Robert Brasillach, aux éditions Les Sept Couleurs. En effet, cette édition doit être distinguée entre toutes celles existantes pour le sérieux avec lequel elle a été établie, pour l’excellente préface d’Alain Lanavère, pour la qualité de son objet même, grâce à l’enrichissement considérable représenté par l’appareil iconographique remarquable, capable d’«aérer» la lecture, d’une part, et de la densifier par le rapport direct établi ainsi avec toute une «esthétique» que, sans cela, on ne saurait que perdre de vue et, par conséquent, d’entendement.
   De plus, les travaux conduits par les associations d’«Amis» d’écrivains nécessitent que les uns et les autres les relaient autant que faire se peut, car ces travaux ont une fâcheuse tendance à se dissiper, se retrouvant dilués dans les considérations annexes faites pour oblitérer toute espèce de «conservation» des patrimoines.

   Je donne ici le lien permettant de se rendre sur le tout récent site des éditions Les Sept Couleurs : https://les-sept-couleurs.fr
   À bon lecteur, salut !

2. Merci.