« La vision d’Anne Hidalgo est idéologique et déconnectée des besoins réels des Parisiens. » Jean-François Legaret (ancien maire du 1er arrondissement de Paris).
Par Radu Portocala.
« … les lubies de cette femme qui hait Paris… »
Au long de l’histoire, le monde a connu des dictatures de toutes sortes.
Élue par des benêts et réélue par des inconscients, la mairesse de Paris, voulant prouver la fertilité de son imagination fébrile, s’emploie depuis des années à inventer et à nous infliger une forme inédite de dictature : la dictature municipale.
Faisant preuve d’une persévérance qui tient du pathologique et que rien n’a pu contrarier, elle est en passe d’aboutir.
Mais la ville, après cette longue et juste tourmente, agonise.
Bientôt, sa sbiresse aura ce qu’elle a voulu depuis le début : Paris ville balnéaire, habitée par des retraités n’ayant autre but que de déambuler dans les rues piétonnes et parcourue par des touristes désargentés qui ne lui apporteront rien sauf des encombrements bruyants dans quelques endroits devenus infréquentables.
Là mort est déjà là, drapée dans les lubies de cette femme qui hait Paris et qui se venge d’on ne sait pas quoi. ■ RADU PORTOCALA
Ce billet – comme toujours si bien écrit ! – est paru le 1er novembre sur la page FB de son auteur.
Radu Portocala est écrivain et journaliste, spécialisé notamment en Relations Internationales.
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