lemonde.fr – Joe Biden contredit son propre engagement en graciant son fils Hunter, peu avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
L’information est donnée – sous ce titre – par Le Monde d’hier, lundi. On peut s’y reporter – et le lire intégralement si l’on est abonné.
Dans cet Empire de nature en grande partie patricienne, sous couvert d’éthique et de praxis démocratique, on est saisi, non pas étonné, par les libertés décomplexées, d’une rare impudence, comme les procédés, que s’autorisent les grandes familles oligarchiques bien plus que démocratiques, en défense des intérêts et des personnes de leur clan.
On peut juger cela plutôt normal aux Etats-Unis où les intérêts matériels autant que les égoïsmes individuels ou collectifs sont prééminents. On s’en scandaliserait en Europe, même si des cas approchants n’y manquent pas.
L’article du Monde signé par Piotr Smolar, correspondant du journal à
Biden n’est pas gâteux ou du moins pas assez pour oublier d’envoyer des armes à l’´Ukraine et protéger son fils.. si il trébuche en marchant et est confus dans son vocabulaire ( ce qui arrive ã tout le monde ) , il sait très bien néanmoins ce qu’il fait et l’a prouvé pendant son mandat. Aucune excuse. Il est donc sénile puisqu’il est ågé mais il ne fait pas partie des « gâteux »
Le sens de la famille l’emporte sur la décence partisane. Hiérarchie naturelle des valeurs…