La vérité est que le pays n’est pas gouverné, ou peu et mal, tandis que de lourds nuages s’accumulent à l’horizon : le risque d’un défaut de paiement de la France, d’une hausse insoutenable des intérêts de la dette, d’une reprise de l’inflation et du chômage, de nouveaux troubles graves d’ordre ethno-religieux, la montée de l’insécurité, une crise durable et difficile des relations franco-algériennes, l’aggravation potentielle des désordres mondiaux et des risques de guerre européenne ou mondiale, où la France pourrait être entraînée si elle ne s’en préserve pas, etc.
La vérité est également que, dans de telles conditions marquées par une extension des sujets sensibles, le régime politique français, décrédibilisé sur la scène internationale et discrédité dans son ensemble à l’intérieur — tous partis et composantes du système confondus — n’est plus en mesure de faire face aux défis à venir.
Enfin, la vérité est qu’un simple changement de majorité gouvernementale n’est plus à la hauteur des enjeux actuels. Une simple alternance politique n’y suffira pas : un changement de régime s’imposera comme une nécessité incontournable dans le contexte présent.
Pour nous, il est clair que ce changement de régime devrait tendre vers une monarchie royale, ancrée dans la tradition française. Même si une phase de transition, nécessairement autoritaire et d’une durée plus ou moins longue selon les circonstances, pourrait être le seul chemin pour atteindre cette solution optimale. Ce chemin ramènerait la France à son régime fondateur, celui qui, autrefois, l’a portée aux plus hauts sommets. JE SUIS FRANÇAIS
Tout le monde reconnaissait de l’intelligence à Macron, cela n’a pas suffit et même a nui! Les français se rendent compte peu à peu que la principale qualité d’un homme d’état, d’un dirigeant n’est pas l’intelligence.
Mais qui donc, à part lui, a dit qu’il était intelligent? Le seul vrai concours auquel il s’est présenté, il s’y est planté trois fois! Et il suffit d’entendre un de ses discours pour douter de son intelligence! Par contre, qu’il soit fou, un psychiatre italien nous en avait prévenu.
Commentaires intéressants mais sans doute hors sujet.
La question posée ne porte pas essentiellement sur Macron, mais sur les institutions qui malgré les précautions prises en 1958 par le texte constitutionnel, finissent toujours par revenir au système des partis c’est-à-dire au régime d’assemblée où les hommes sont à la fois impuissants et corrompus, incapables de concevoir, en tout cas de faire primer le bien commun sur leurs intérêts partisans.
Ceux qui ont grandi dans l’enseignement de l’action française d’autrefois, autrement clairvoyante, sont familiers de cet effet corrupteur des institutions indépendamment de la qualité éventuelle des hommes.
Philippe VII, Comte de Paris, celui qui prétendait au trône de France, dans les débuts de la IIIe République, l’avait compris, et diffusé à cette époque : « les institutions corrompent les hommes ».
D’ailleurs, il ne s’agit pas seulement de la corruption au sens vulgaire, mais aussi de la corruption de leur cerveau par l’idéologie et de leur éthique par la domination de l’esprit de parti.
Si l’on en revient à ces idées de base on comprend que le cas Macron même si le bougre est étrange et particulier, est malgré tout d’importance secondaire
Nous assistons au retour d’une offensive parlementariste qui séduit une très grande partie de la classe politique et des médias,´ et qui affaiblit la France encore un peu plus car déjà nous observons ses effets néfastes.