Ce ne sont pas les cendres du volcan islandais au nom imprononçable qui se sont infiltrées dans notre ordinateur de base, mais une méchante attaque d’un très méchant virus nous gêne grandement depuis mercredi après-midi. Des perturbations se produisent donc depuis ce moment-là, qui risquent de durer encore un peu de temps. Nous vous prions de bien vouloir nous en excuser, et vous demandons de faire preuve d’un peu de patience…..
Il nous est par exemple impossible d’avoir accès aux courriels envoyés sur maisaquilafaute, ou transmis directement à lafauterousseau: ne vous étonnez donc pas si vous n’avez pas encore reçu de réponse à des messages que nous n’avons tout simplement pas encore pu lire ! Si la situation devait se prolonger, nous vous communiquerions une adresse de substitution….
Nous comptions envoyer aujourd’hui l’image de la Une de Royaliste qui, dans son numéro 968 (du 19 avril au 2 mai), traite des propos de Martine Aubry sur le quinquennat; des propos auxquels nous avions fait écho en publiant, hier, la note très pertinente de Paul Gilbert.
Nous devons nous contenter de la simple retranscription de ce billet:
AUTOCRITIQUE
Le blogueur Antidote a judicieusement commenté une information qui n’a pas fait la Une des grands médias. Elle est pourtant significative: Martine Aubry s’est interrogée sur les bienfaits de la réduction à cinq ans de la durée du mandat présidentiel naguère voulue par la droite et la gauche.
Les effets en tous points négatifs du quinquennat s’étalent sous nos yeux: le Président de la République est devenu un super Premier ministre, la fonction arbitrale n’est plus exercée, le supposé président est en campagne permanente. L’égotisme et l’activisme de Nicolas Sarkozy n’ont fait qu’aggraver le processus, jusqu’au viol manifeste de la Constitution. Mais un président de gauche, à supposer qu’il dispose d’une majorité de députés en sa faveur, serait prisonnier de la même logique.
Il serait salutaire que Martine Aubry propose le retour au septennat. Elle pourrait aussi s’interroger sur son engagement en faveur du « traité constitutionnel » mué en traité de Lisbonne, sur sa défense et promotion de l’euro et sur le désastreux « tournant » de 1983. C’est après une autocritique générale qu’elle pourrait intéresser nombre de Français.
Pierre Builly sur Quand, il y a 155 ans,…
“J’ai lu quatre fois « L’Éducation sentimentale » sans jamais en retenir quoi que ce soit ; c’est…”