Été 2019.
Complément à l’éphéméride du jour …
Il ne faut pas oublier les poètes. Fussent-ils simplement auteurs, compositeurs, diseurs ou chanteurs de ballades populaires comme le fut Félix Leclerc.
Mathieu Bock-Côté a eu raison non pas de rappeler sa mémoire, comme celle d’un disparu, mais de le dire, le 8 août, dans le Journal de Montréal, « toujours parmi nous ». Pour Bock-Côté, Félix Leclerc est « un immortel de la culture québécoise ». Pour nous aussi, d’ailleurs, de ce côté-ci de l’Atlantique où l’on fut si sensible à la poésie de ce chanteur qui vivait à l’Île d’Orléans, ainsi nommée en souvenir de nos princes.
Dans un entretien télévisé, à Paris, où on lui lui demandait si quelque chose le gênait lors de ses séjours en France, il avait eu le front de répondre : « Oui, la langue … anglaise ». Nous l’aimions aussi à cause de cette fidélité à notre langue commune qu’il parlait si bien, autant qu’à à la Belle Province, dont il a chanté de sa voix profonde et calme et grave reconnaissable entre toutes, toutes les saisons, tous les paysages, tous les personnages et tous les rêves..
Félix Leclerc est mort à l’Île d’Orléans – il y a trente et un ans cette année – le 8 août 1988. JSF ■
La mort de l’ours
Où il est question d’aller porter hommage au roi …
La Mort De L’Ours
(Un peu à la manière d’une fable)