Retour sur LA CONVERGENCE DES PROGRESSISMES de François Marcilhac.
Par Jean de Maistre.
Le progressisme est l’héritier de ce projet fou qui fut celui de la révolution française et du bolchevisme : régénérer l’homme, construire l’homme nouveau en détruisant les traces du passé, en prétendant tout réécrire comme sur une page blanche, avec la violence qui en découle nécessairement à l’égard des institutions et de ceux qui sont dénoncés comme des représentants de ce passé honni.
Le progressisme comme le communisme est un projet totalitaire visant à tout refaire, les mœurs, le droit. Cet article a raison de parler de « lois scélérates » à propos de celles voulues par la raciste Taubira, la ministre de la préférence criminelle.
Il faudra un jour abolir ces lois mémorielles qui servent à censurer la recherche historique.
N’en déplaise à la sinistre Taubira, les africains ont été partie prenante dans la traite négrière occidentale, il y a eu un esclavagisme arabo-musulman qui a duré quatorze siècles, ce sont seulement les USA et l’Europe qui ont promulgué des lois abolitionnistes, le monde arabo-musulman n’a jamais fait preuve de la moindre mauvaise conscience pour sa pratique de l’esclavagisme.
Effrayant progressisme qui est un mensonge déconcertant pour reprendre l’expression utilisé par le dissident soviétique Zinoviev pour caractériser l’URSS.
La vision progressiste du monde est fausse de part en part, et d’autant plus dangereuse qu’elle veut s’imposer par la contrainte, la menace, l’intimidation. ■
Commentaire reçu le 18.09