On a peur d’avoir compris, lorsqu’on a terminé le court billet de Sophie Manelli dans La Provence du vendredi 22 octobre (page 5) :
En somme, en 2003, nos impôts locaux ont « offert » six jours de grève aux éboueurs puisque, sur les douze jours de grève, seuls six leur ont été retenus ! Et encore, avec un étalement sur six mois !
Et même, dans d’autres conflits, nous dit toujours Sophie Manelli, les éboueurs ont eu droit à une « petite prime » (!) pour remettre la ville en état !
Que penser, enfin, de ces mécanismes qu’inventent les grévistes pour ne pas travailler tout en étant payés ?
Comme on dit : les lecteurs jugeront…..
C’est l’un des moments où l’on peut re-citer Saint Simon : « Quel bon pays est la France à tous les escrocs, les aventuriers et les fripons ! »…
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”