Le comte de Paris et son fils le duc de Vendôme ont assisté ce vendredi 21 janvier 2011 à 12h15 à la messe à la mémoire du roi Louis XVI qui fut célébrée par Monseigneur Xavier Baronnet, évêque émérite de Port-Victoria. Une foule nombreuse avait fait le déplacement pour se recueillir et se souvenir du roi Louis XVI 218 ans après son exécution.
L’évêque évoqua la vie de Louis XVI et insista sur les qualités morales du souverain, artisant de paix. Après la messe, le comte de Paris et son fils le duc de Vendôme ont reçu pendant plus d’une heure les hommages des personnes présentes au requiem.
(Après le court en-tête précédent, on trouve plusieurs messages, dont l’un de Charles, qui relate ainsi la cérémonie)
« Cette messe de Requiem, organisée par le comité de l’oeillet blanc, était célébrée à la mémoire du roi Louis XVI, de la famille royale et de toutes les victimes de la révolution française.
Le prince Jean de France est arrivé à midi. Il a été accueilli par les organisateurs de la cérémonie et est resté sur le parvis de l’église pour attendre le Chef de la Maison de France. A 12 h 15 précise le comte de Paris est arrivé suivi de son service s’honneur. Le prince Jean est allé au devant de son pére pour l’accueillir et l’embrasser affectueusement. L’évêque et le clergé attendent les princes sur le parvis de l’église.
Le comte de Paris donne le signal de départ et le cortége rentre dans l’ancienne paroisse des rois de France comble et silencieuse.
Le comte de Paris s’installe sur un fauteuil de velours rouge seul au premier rang tandis que son fils est assis au second rang au coté de son cousin le comte Aymar de Rambuteau et du duc de Lorge. On remarque dans l’assistance des écrivains, des historiens, des grands noms et des français de tous horizons venus se souvenir de leur roi martyr.
La messe fut particulierement solenelle cette année. Mgr Xavier Baronnet évoqua la vie de Louis XVI en insistant sur le coté humain et ouvert du roi sur l’extérieur.
Le comte de Paris a reçu le premier la communion suivi du Dauphin Jean. Toute l’assistance a communié. Après le Salve Regina, la sortie s’est faite au son des grandes orgues de Saint Germain l’Auxerrois. L’évêque, le clergé et les princes ont regagné le parvis en cortége. Les princes ont remercié chaleureusement l’évêque d’avoir célébré cette cérémonie. Le comte de Paris et le duc de Vendôme ont reçu les voeux et les hommages des français avec simplicité. Le prince Jean était particulièrement souriant et disponible avec chacun. Il a donné des nouvelles du prince Gaston avec plaisir. Le duc de Vendôme semble serein et plus détendu depuis sa rencontre avec la princesse Philoména.
En ce jour de deuil, la Maison royale de France unie retrouve son rôle traditionnel de concorde.
L’Espérance monarchique demeure. »
(1) : lu sur Noblesse et royautés….
Vive la famille royale, notre espoir à tous.
je n’ai pas pu y assister ette année, par ailleurs j’ai regretté le déjeuner qui nous réunissait ensuite.
si la famille des Orléans est bien descendante de la dynastie de nos rois de France, elle n’est héritière que de façon lointaine en quarantième positione. Le premier dans l’ordre de la primogeniture mâle est Monseigneur Louis Alphonse, Duc d’Anjou Français de droit et de nationalité française républicaine de surcroit ainsi que ses enfants. ensuite viennent les Bourbons Seville, les Bourbons Parme, le Duc de Luxembourg Henri, et loin après enfin la famille d’Orléans, aussi, je vous demande de rétablir la Vérité en inscrivant Jean de Vendome non pas comme héritier comme descendant. Pour être héritier de la couronne, il faudrait que comme dans le film « noblesse oblige » il trucide une quarantaine de descendants avant lui.
Quid d’expliquer pourquoi le Prince Louis, certes, aîné des
Bourbons, ne soit pas dynaste en Espagne, que sa famille
n’ait pas subit les lois d’exil françaises, qu’il n’ait pas fait de
service militaire en France, qu’il se soit marié à l’étranger,
que par ailleurs, le Comte de Chambord ait reconnu le
Comte de Paris, comme son successeur légitime, que dire
du Prince François mort pour la France en Algérie, et de
Louis d’Orléans, premier prince du sang, héritier présomptif
de la couronne de France, à partir de 1723.
Sans entrer dans les polémiques dynastiques, le trône est
plus qu’un droit, il est avant tout un devoir concret au
service des Français et de la France.
Il n’y a plus de Bourbons en France. Au décès du Comte de Chambord, la seule famille princière capétienne encore présente en France était celle d’Orléans. Fin de l’histoire.