C’est une pleine page (la 5) dans La Provence du mercredi 24 novembre qui le dit; elle est consacrée au pourrissement des banlieues, et elle a le mérite, sans langue de bois, de poser le problème au fond.
En voici un court extrait, fort éloquent, et qui se passe de tout commentaires… :
A cette nuance près, toutefois, mais elle est de taille, que le journal se garde bien de poser la question du pourquoi ? : pourquoi en est-on arrivé là, et comment, et quelles sont les racines du mal ? Du moins, quelle est la racine principale de ce fléau, et de sa croissance exponentielle et monstrueuse – et bientôt, n’en doutons pas, incontrôlable, si rien n’est fait rapidement…
Car, ce fléau, il ne suffit pas de le dénoncer : c’est ce que La Provence ne semble pas avoir compris, elle qui relate les faits – même si c’est déjà bien… – mais sans chercher à remonter aux causes profondes. Et sans proposer non plus la moindre solution réelle….
Et pourtant, il faudra bien en sortir, et oser imaginer autre chose que ce qui existe !
– « Garder » celles et ceux parmi les immigrés depuis 1975 qui ont la réelle volonté et la possibilté de s’intégrer vraiment; avant, pourquoi pas ?, de s’assimiler;
– organiser intelligemment et humainement le retour au pays de celles et ceux qui se sont trompés – ou l’ont été…. – sur les mirages de la vie heureuse en Europe;
-déchoir d’une nationalité dont ils n’auraient jamais du être gratifiés celles et ceux qui ont un comportement répréhensible, et incompatible avec nos traditions, nos us et coutumes, nos façons d’être et de faire….
Voilà, très rapidement esquissé, ce qui pourrait être l’ossature d’une politique des trois tiers que la France pourrait mener, afin de régler les problèmes posés par la politique (?) d’immigration insensée suivie depuis 1975 par tous les gouvernements qui se sont succédés, droite et gauche confondues…..
Nous le développerons très bientôt…..
Noël Stassinet sur On attend une vigoureuse réaction du…
“Alors les grands penseurs de la gôôôche on se réveille ? On a une panne de…”